Le mardi 17 octobre, le Parlement marocain à Rabat a été le théâtre d’une scène inédite. Pour la première fois de son histoire, le grand portail de cet édifice historique a été percuté par un chauffeur de taxi,, provoquant un émoi général et et de nombreuses questions sur les motivations et les circonstances entourant cet acte..
C’est en milieu d’après-midi que les autorités de la préfecture de police de Rabat sont intervenues, arrêtant un homme manifestement en état de confusion mentale. Les premiers éléments de l’enquête ont révélé qu’il est fortement soupçonné d’avoir orchestré cet acte, causant ainsi des dommages à la porte principale du Parlement. Curieusement, la voiture utilisée pour cet acte était un taxi enregistré au nom de sa mère.
Des témoignages sur place, corroborés par les observations initiales, ont indiqué que le conducteur avait dévié de son chemin non loin de la place de la Poste de Rabat, finissant sa course folle contre l’enceinte parlementaire. Mais que s’est-il vraiment passé dans la tête du conducteur pour en arriver là ?
L’état du suspect au moment de l’incident a été qualifié d' »anormal ». Il se pourrait qu’il ait été sous l’influence de certaines substances ou médicaments, dont la nature exacte est encore en cours d’analyse. Cette hypothèse est d’autant plus renforcée par le fait que l’individu a des antécédents médicaux, ayant été hospitalisé à diverses occasions dans des centres spécialisés en psychiatrie.
L’incident, outre son caractère inédit, a mis en lumière l’importance des mesures de sécurité entourant des lieux aussi emblématiques que le Parlement. Les investigations, toujours en cours sous la supervision du procureur compétent, visent à déterminer l’intégralité des faits et circonstances de ce cas exceptionnel. La nation attend avec impatience les conclusions qui seront tirées de cet incident sans précédent.