Pour la Coupe du Monde de football 2030, co-organisé par l’Espagne, le Maroc et le Portugal, le président français Emmanuel Macron s’est positionné fermement pour que la finale se déroule au Maroc. Cette prise de position souligne la nature unique de cette édition, qui traverse les continents.
Alors que l’Espagne propose le mythique stade Santiago Bernabéu rénové, le Maroc met en avant un stade moderne à Casablanca, symbolisant le dynamisme et la modernité du pays. Le Portugal, quant à lui, est écarté de la sélection pour la finale en raison de l’absence d’un stade répondant aux critères stricts de la FIFA.
Macron, usant de son influence notable dans le football international, argumente que l’Espagne ayant déjà eu l’honneur d’accueillir une finale de Coupe du Monde, il serait juste que le Maroc ait cette opportunité. Ce soutien de la France pour une finale marocaine est un exemple de la diplomatie sportive en action, visant à équilibrer la reconnaissance et les opportunités entre les nations co-organisatrices.
La proposition de la France, visant à organiser les demi-finales en Espagne et la finale au Maroc, est perçue comme un effort de Macron pour améliorer les relations diplomatiques avec le Maroc. Ce geste suggère une tentative de réconciliation et de renforcement des liens entre les deux pays. Néanmoins, la décision finale concernant le lieu de la finale de la Coupe du Monde 2030 reste entre les mains de la FIFA, seule autorité à pouvoir trancher cette question.
Si le Maroc se voit attribuer l’organisation de cette finale à Casablanca, cela représenterait une opportunité précieuse pour mettre en avant le pays sur la scène internationale. Un tel événement offrirait une vitrine exceptionnelle pour promouvoir la culture, l’hospitalité et le dynamisme du Maroc auprès d’un public mondial.