Sept Marocains dans le Top 100 des influenceurs d’Afrique francophone

Dans le monde dynamique et interconnecté des réseaux sociaux, sept Marocains ont récemment marqué leur empreinte en figurant dans la liste des 100 leaders et entrepreneurs d’Afrique francophone les plus influents. Cette reconnaissance, octroyée par Favikon, une startup spécialisée dans l’analyse des réseaux sociaux, en partenariat avec l’agence 35° Nord basée en Côte d’Ivoire, souligne l’impact croissant de ces personnalités dans le paysage numérique africain.

Parmi ces sept étoiles montantes, Nezha Alaoui, une innovatrice sociale et fervente militante pour l’autonomisation des femmes, se distingue particulièrement en se positionnant à la deuxième place du classement. Connue pour son livre sur le rôle des femmes dans le monde arabe et ses interventions en tant que conférencière lors d’événements internationaux, Nezha Alaoui est un exemple de leadership et d’engagement.

Les autres Marocains qui se démarquent dans ce top 100 sont des figures notables dans divers domaines, notamment la technologie, l’entrepreneuriat et l’innovation. Mehdi Alaoui, Ismael Belkhayat, Mehdi Mourabit, Amine Zarouk, Khadija Aammou et Ismail Bellali illustrent la diversité et la richesse des talents marocains. Leurs contributions vont de la promotion de l’innovation numérique dans l’industrie et l’agriculture durables à la construction d’écosystèmes de startups africaines.

Ce classement, basé sur des critères tels que la taille de l’audience, la croissance du compte et les niveaux d’engagement, exclut Facebook mais inclut des plateformes comme Instagram, TikTok, YouTube, X (ex-Twitter) et LinkedIn. Il met en lumière non seulement leur notoriété ou leur popularité, mais aussi leur capacité à inspirer et à influencer, surtout auprès de la jeunesse africaine.

Ces leaders marocains illustrent parfaitement comment la réussite professionnelle, l’engagement dans le débat d’idées et la présence active sur plusieurs plateformes contribuent significativement à l’essor du continent et à la valorisation d’un narratif Made in Africa.