À l’approche du 16 décembre, les automobilistes au Maroc peuvent s’attendre à une agréable surprise aux stations-service, avec une légère contraction des prix à la pompe pour le gazole et l’essence. Cette baisse, estimée à environ 50 centimes par litre, découle d’une tendance internationale à la baisse des prix des carburants.
Mostafa Labrak, directeur général d’Engerysium Consulting, explique que cette diminution est le résultat direct de la récente chute des prix des carburants sur le marché mondial au cours de la dernière quinzaine de décembre. Toutefois, il souligne que la variation exacte dépendra des politiques commerciales adoptées par chaque société de distribution.
Cette baisse des prix soulève également une question intrigante : pourrait-on envisager un retour aux jours où le gazole se vendait entre 8 et 9 dirhams par litre, malgré le contexte actuel où le prix du baril de pétrole est en deçà de 77 dollars ? À une époque où le baril était plus onéreux, les prix du carburant étaient plus bas. Cette apparente inversion de tendance invite à se demander si, un jour, les automobilistes marocains pourraient retrouver ces tarifs d’antan. La réponse semble dépendre non seulement de la fluctuation du marché mondial mais aussi des décisions stratégiques des acteurs locaux du secteur pétrolier.
Alors que les consommateurs accueillent favorablement cette baisse à court terme, la question du prix du gazole évoque des souvenirs d’une époque révolue, suscitant une réflexion sur les facteurs qui pourraient influencer l’évolution future des tarifs à la pompe. Le 16 décembre marquera donc non seulement une réduction immédiate des coûts pour les automobilistes, mais aussi une opportunité de réfléchir à la volatilité du marché pétrolier et à ses implications sur le porte-monnaie des consommateurs.
La mafia des hydrocarbures est déterminée à maintenir ses profits vertigineux malgré l’intervention du conseil de la concurrence et les multiples critiques de l’opinion publique autour de ce sujet. Le retour à la normale des prix à la pompe est tributaire d’une vraie volonté du gouvernement à améliorer le pouvoir d’achat du citoyen marocain et à réduire l’inflation qui ronge le porte-monnaie de ce dernier. Il faut frapper d’une main de fer cette mafia pour donner un nouveau souffle à l’économie marocaine. Mais la question qui se pose est : qui aurait l’audace d’entreprendre une telle action dans le contexte politique actuel?
Vous avez dit « volonté du gouvernent » !! mais qui est donc le chef de ce gouvernement ? Ce n’est ni + ni – que le 1er distributeur d’hydrocarbures au Maroc !! Conflit d’intérêt ? Mais nooooon !!
Ces compagnies continueront à pomper le Marocain, sans se soucier de lui, et d’ici 5 ans, on se réveillera et on leur donnera une petite sanction avec un montant ridicule à payer (car non dissuasive) et ainsi de suite…
Ici il ne fut pas parler du de la volonté du gouvernement, mais la volonté du peuple marocain du consommateur Maroc. C’est lui le grand perdre. Donc il faut qu’il réagit contre cette mafia de hydrocarbures et ce en lançant un hashtag « ne pas s’approvisionner » pour une certaine période
Mais ce que je remarque les marocains sont de plus en plus sûr les routes comme quoi la hausse des prix n’a aucun effet sur leurs porte-monnaie
L’acteur principal qui peut nous aider à faire face à cette mafia est le secteur du transport je leur serai très reconnaissant si leur syndicat se range à côté des citoyens
Au moins on a un changement du nom du président mais il faut s’attendre que la politique reste la même toujours des hostilités contre le maroc