L’artiste marocaine Latifa Raafat a explosé de colère face aux commentaires diffamatoires qui la hantent depuis l’arrestation du président du Wydad Athletic Club, Saïd Naciri, et d’Abdenabi Bioui, président du conseil régional de l’Est, tous deux liés au baron de la drogue « Malien », l’ex-mari de la chanteuse.
Le scandale a secoué les réseaux sociaux et a valu à Latifa de graves accusations. Mais elle a décidé de briser le silence à travers une vidéo sur Instagram. Elle a voulu clarifier la situation à ses fans et faire taire les rumeurs persistantes selon lesquelles elle aurait fui le Maroc par peur d’être arrêtée.
« Je suis en voyage et tout le monde me demande si Latifa est en prison. Je n’ai jamais pensé à répondre à ces accusations infondées. Mais cette fois, c’est trop. En pensant à tout ça, c’est ma fille Almas qui me vient en tête avant tout », a-t-elle déclaré avec émotion. Elle a réitéré que les spéculations concernant les traits de sa fille, la faisant ressembler à « Malien », sont totalement fausses. Almas est issue d’une autre relation, a-t-elle précisé.
Latifa Raafat a poursuivi son discours en affirmant qu’elle n’avait rien à voir avec ce que faisait le « Malien » et qu’elle ne savait rien de l’affaire, expliquant qu’ils étaient divorcés depuis des années. Elle a déclaré: « Ce monsieur m’a connue en 15 jours et voulait m’épouser. Il était un homme d’affaires du Mali, il avait des projets et pas de drogue. Il était mon mari selon la loi de Dieu et de son Prophète. Je n’ai jamais soupçonné qu’il faisait quoi que ce soit de mal. Et même avant le mariage, une enquête a été menée et rien n’a été trouvé. Même quand nous avons divorcé, nous nous sommes séparés par divorce et je n’ai jamais été intéressée par lui. La maison lui appartenait et, même après le divorce, je n’ai pas pris un seul dirham. »
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C’est trop ces réseaux sociaux. Si les inventeurs de ces réseaux savaient qu’ils allaient devenir un moyen de diffamation et de propagande à mon avis ils auraient renoncer à les créer.