Face à l’équipe d’Afrique du Sud ce mardi soir, la niyya à Walid sera-t-elle suffisante ? Les Lions favoris ? Pas vraiment !
Après un premier tour mi-figue mi-raisin où nos Lions n’ont pas montré toute l’étendue de leur talent et de leur savoir-faire, on ne peut pas dire que le degré de confiance et de sérénité chez le public marocain est le même qu’avant cette Coupe d’Afrique même si le coach national n’a jamais clairement parlé de l’objectif de remporter cette Coupe d’Afrique.
Face à l’Afrique du Sud, une équipe que l’équipe du Maroc n’ont jamais réussi à battre en Coupe d’Afrique, les Lions de l’Atlas n’ont absolument pas droit à l’erreur face à un collectif solide et qui ne lâchera rien.
Si au Qatar, nos Lions n’étaient pas forcément préparés pour jouer sept matchs, cette fois aussi à part la motivation du staff et l’envie des joueurs, on n’en saura pas plus surtout qu’on n’a pas eu l’opportunité de voir ce groupe lors de matchs amicaux de préparation.
Il s’agira surtout de répondre à l’impact physique et montrer un jeu plus réaliste et plus cohérent que lors du premier tour.
Pour cela, on souhaite ne plus voir les mêmes failles et autres déchets techniques que contre la RDC et la Zambie, au cours de prestations mitigées qui n’ont pas été de nature à rassurer grand monde quant à la capacité des Lions de l’Atlas à aller le plus loin possible dans cette compétition et pourquoi pas jusqu’au bout.
Une compétition où on aura constaté les énormes progrès du football africain par rapport à notre football national qui se permet des coups d’éclats de temps à autre, mais dont le niveau de la Botola et celui des joueurs locaux sont encore loin du compte !
A ce sujet, si l’Académie Mohamed VI produit des joueurs recrutés par des clubs européens, d’ici le 11 février on verra bien si ces joueurs sont compétitifs sur le continent et capables de s’imposer en Coupe d’Afrique.
Les Lions n’ont pas droit à l’erreur
Pour cela, ce mardi on attend la meilleure version de l’équipe du Maroc avec une performance sans tergiversations et un jeu sans fioritures car sans discipline tactique et organisation collective sans failles, il ne faudra pas espérer grand chose face à des équipes aguerris et des adversaires qui feront tout pour battre les Lions de l’Atlas.
Alors croisons les doigts et souhaitons à l’équipe du Maroc de pouvoir évoluer avec les meilleures dispositions morales, tactiques et physiques .
Et souhaitons que certains joueurs qui ont la confiance totale du coach national seront très inspirés , joueront avec les tripes, mouillent le maillot et seront à la hauteur des attentes.
Gardons- nous toutefois , pour terminer , d’un optimisme démesuré et gageons que Walid Regragui est bien conscient que l’équipe du Maroc n’est pas forcément favorite pour ce huitième et qu’il veillera à éviter toute mauvaise surprise.
Hafid FASSI FIHRI
Face à l’équipe d’Afrique du Sud ce mardi soir, la niyya à Walid sera-t-elle suffisante ? Les Lions favoris ? Pas vraiment !
Après un premier tour mi-figue mi-raisin où nos Lions n’ont pas montré toute l’étendue de leur talent et de leur savoir-faire, on ne peut pas dire que le degré de confiance et de sérénité chez le public marocain est le même qu’avant cette Coupe d’Afrique même si le coach national n’a jamais clairement parlé de l’objectif de remporter cette Coupe d’Afrique.
Face à l’Afrique du Sud, une équipe que l’équipe du Maroc n’ont jamais réussi à battre en Coupe d’Afrique, les Lions de l’Atlas n’ont absolument pas droit à l’erreur face à un collectif solide et qui ne lâchera rien.
Si au Qatar, nos Lions n’étaient pas forcément préparés pour jouer sept matchs, cette fois aussi à part la motivation du staff et l’envie des joueurs, on n’en saura pas plus surtout qu’on n’a pas eu l’opportunité de voir ce groupe lors de matchs amicaux de préparation.
Il s’agira surtout de répondre à l’impact physique et montrer un jeu plus réaliste et plus cohérent que lors du premier tour.
Pour cela, on souhaite ne plus voir les mêmes failles et autres déchets techniques que contre la RDC et la Zambie, au cours de prestations mitigées qui n’ont pas été de nature à rassurer grand monde quant à la capacité des Lions de l’Atlas à aller le plus loin possible dans cette compétition et pourquoi pas jusqu’au bout.
Une compétition où on aura constaté les énormes progrès du football africain par rapport à notre football national qui se permet des coups d’éclats de temps à autre, mais dont le niveau de la Botola et celui des joueurs locaux sont encore loin du compte !
A ce sujet, si l’Académie Mohamed VI produit des joueurs recrutés par des clubs européens, d’ici le 11 février on verra bien si ces joueurs sont compétitifs sur le continent et capables de s’imposer en Coupe d’Afrique.