Trois personnes ont été blessées lors d’une attaque au couteau perpétrée hier, lundi 12 février 2024, par un collègue au siège de la filiale du groupe Atos à Casablanca.
Les victimes, deux hommes et une femme, ont été touchées au cou et à l’abdomen, et ont été rapidement transportées à la clinique Dar Salam, située dans le quartier Polo, où elles ont été admises au service de réanimation.
Heureusement, les nouvelles concernant leur état de santé sont rassurantes. Le docteur Abderrahman Bouaggad, chef du service réanimation de la clinique Dar Salam, a confirmé que les victimes étaient hors de danger et que leur état clinique était stable.
Quant à l’auteur présumé de l’attaque, il a été arrêté par la police peu de temps après les faits et a été placé en hôpital psychiatrique.
Selon les premiers éléments recueillis, l’assaillant, un ingénieur en informatique âgé de 42 ans, traverse une période difficile marquée par un deuxième divorce. Bien qu’il suive un traitement contre la dépression, il n’avait présenté aucun signe de radicalisation auparavant. Il était connu pour son calme et son caractère réservé, travaillant au sein de l’entreprise depuis 14 ans.
Pour apaiser et soutenir son personnel, la direction d’Atos Morocco a décidé de renforcer les mesures de sécurité dans l’ensemble de ses sites opérationnels au Maroc, notamment à Casablanca et Rabat, à partir de ce mardi 13 février. De plus, elle a annoncé la mise en place d’une cellule d’accompagnement psychologique pour les employés, tout en leur offrant la possibilité de travailler en distanciel s’ils le souhaitent.
3 Comments
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Louafi Fouad
9 mois il y a
Pourquoi vous parlez de radicalisation alors que avez dit qu’il passait par une période difficile, vraiment vous êtes tarés
Pourquoi vous parlez de radicalisation alors que avez dit qu’il passait par une période difficile, vraiment vous êtes tarés
Ils utilisent les termes imposés par le gouvernement mondial pour salir l’image des musulmans!!
vous avez raison, j’ai fait même remarque, il parait que le journaliste est radicalisé lui même sans le savoir