Joe Biden évoque pour la première fois la possibilité d’un soutien sous conditions à Israël . Faut-il espérer un tournant ou une remise en question du soutien militaire alors que le soutien des Etats-Unis à Israël reste néanmoins inébranlable ?
Changement de ton
Le président américain aurait ainsi déclaré , durant une conversation avec le dirigeant israélien « qu’Israël devait annoncer et mettre en place des mesures spécifiques, concrètes et tangibles pour répondre à la souffrance des civils, à la crise humanitaire, et pour la sécurité des travailleurs humanitaires », selon un bref compte-rendu de l’échange téléphonique publié par la Maison Blanche.
Il a aussi « indiqué que la politique américaine, en ce qui concerne Gaza, serait déterminée par l’évaluation qu’il ferait des décisions immédiates prises par Israël » en ce sens. L’échange a duré une trentaine de minutes et le président américain a appellé Israël à un « cessez-le-feu » immédiat..
« Ce que nous attendons et espérons voir dans les heures et les jours à venir, c’est une augmentation spectaculaire de l’aide humanitaire, l’ouverture de nouveaux points de passage et une réduction de la violence à l’encontre des civils et certainement des travailleurs humanitaires », a déclaré à la presse, dans un second temps, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby.
Le président a été clair, a ajouté le parte-parole. L’aide sera déterminée par ces changements qui sont attendus dans les heures et les jours qui viennent.
Ce changement de ton de la Maison Blanche vis-à-vis d’Israël est donc très net, même si la Maison Blanche ne va pas jusqu’à définir ces changements attendus, ni même jusqu’à dire qu’ils conditionnent l’aide militaire américaine à Israël dans sa guerre à Gaza.
Joe Biden, qui a jugé « inacceptables » les frappes israéliennes ayant visé des travailleurs humanitaires, a également exhorté Benyamin Netanyahu à « conclure sans délai un accord » pour un « cessez-le-feu immédiat » dans la bande de Gaza.
Le président américain s’était dit, le 2 avril, « indigné » après la mort lundi de sept volontaires humanitaires à Gaza, dont six étrangers, tués par une frappe israélienne. Cet événement l’a « secoué », selon John Kirby, qui a reconnu que le président américain éprouvait un « mécontentement croissant », alors que le gouvernement israélien est jusqu’ici resté sourd à ses appels à agir face à la catastrophe humanitaire à Gaza.
Le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a adopté à Genève une résolution, non contraignante, appelant à stopper les ventes d’armes à Israël.
Par ailleurs , après les avertissements et ce changement de ton de la Maison Blanche, Tel-Aviv a aussitôt donné son feu vert à la livraison « temporaire » pour acheminer des vivres vers la bande de Gaza via le port d’Ashdod et le point de passage d’Erez.
Cette annonce survient au moment où la pression internationale s’accentue sur le gouvernement israélien, le président des États-Unis Joe Biden ayant évoqué pour la première fois la possibilité de conditionner l’aide américaine à Israël à des mesures « tangibles » face à la catastrophe humanitaire à Gaza.
Attitude ambiguë de Joe Biden envers Israël ! ?
A ce sujet, alors que le Canada avait voté pour la fin des livraisons d’armes à Israël et que le débat au sujet de stopper les ventes d’armes à Israël s’installe dans certains pays occidentaux, il n’est absolument pas envisageable que le mécontentement de la Maison Blanche puisse se traduire par une remise en question du soutien militaire des Etats -unis !
Et l’on ne pourra que déplorer l’indignation , à géométrie variable , du président américain scandalisé par la mort de sept humanitaires mais pas pour les trente-trois mille Gazaouis tués par l’armée israélienne !
Pendant ce temps, avec cette attitude ambiguë de Joe Biden envers Israël , les livraisons d’armes américaines ne risquent pas de s’arrêter de sitôt !
Et la superpuissance américaine demeure prise en otage par le lobby sioniste !
Joe Biden évoque pour la première fois la possibilité d’un soutien sous conditions à Israël . Faut-il espérer un tournant ou une remise en question du soutien militaire alors que le soutien des Etats-Unis à Israël reste néanmoins inébranlable ?
Changement de ton
Le président américain aurait ainsi déclaré , durant une conversation avec le dirigeant israélien « qu’Israël devait annoncer et mettre en place des mesures spécifiques, concrètes et tangibles pour répondre à la souffrance des civils, à la crise humanitaire, et pour la sécurité des travailleurs humanitaires », selon un bref compte-rendu de l’échange téléphonique publié par la Maison Blanche.
Il a aussi « indiqué que la politique américaine, en ce qui concerne Gaza, serait déterminée par l’évaluation qu’il ferait des décisions immédiates prises par Israël » en ce sens. L’échange a duré une trentaine de minutes et le président américain a appellé Israël à un « cessez-le-feu » immédiat..
« Ce que nous attendons et espérons voir dans les heures et les jours à venir, c’est une augmentation spectaculaire de l’aide humanitaire, l’ouverture de nouveaux points de passage et une réduction de la violence à l’encontre des civils et certainement des travailleurs humanitaires », a déclaré à la presse, dans un second temps, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby.
Le président a été clair, a ajouté le parte-parole. L’aide sera déterminée par ces changements qui sont attendus dans les heures et les jours qui viennent.
Ce changement de ton de la Maison Blanche vis-à-vis d’Israël est donc très net, même si la Maison Blanche ne va pas jusqu’à définir ces changements attendus, ni même jusqu’à dire qu’ils conditionnent l’aide militaire américaine à Israël dans sa guerre à Gaza.
Joe Biden, qui a jugé « inacceptables » les frappes israéliennes ayant visé des travailleurs humanitaires, a également exhorté Benyamin Netanyahu à « conclure sans délai un accord » pour un « cessez-le-feu immédiat » dans la bande de Gaza.
Le président américain s’était dit, le 2 avril, « indigné » après la mort lundi de sept volontaires humanitaires à Gaza, dont six étrangers, tués par une frappe israélienne. Cet événement l’a « secoué », selon John Kirby, qui a reconnu que le président américain éprouvait un « mécontentement croissant », alors que le gouvernement israélien est jusqu’ici resté sourd à ses appels à agir face à la catastrophe humanitaire à Gaza.
Le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a adopté à Genève une résolution, non contraignante, appelant à stopper les ventes d’armes à Israël.
Par ailleurs , après les avertissements et ce changement de ton de la Maison Blanche, Tel-Aviv a aussitôt donné son feu vert à la livraison « temporaire » pour acheminer des vivres vers la bande de Gaza via le port d’Ashdod et le point de passage d’Erez.
Cette annonce survient au moment où la pression internationale s’accentue sur le gouvernement israélien, le président des États-Unis Joe Biden ayant évoqué pour la première fois la possibilité de conditionner l’aide américaine à Israël à des mesures « tangibles » face à la catastrophe humanitaire à Gaza.
Attitude ambiguë de Joe Biden envers Israël ! ?
A ce sujet, alors que le Canada avait voté pour la fin des livraisons d’armes à Israël et que le débat au sujet de stopper les ventes d’armes à Israël s’installe dans certains pays occidentaux, il n’est absolument pas envisageable que le mécontentement de la Maison Blanche puisse se traduire par une remise en question du soutien militaire des Etats -unis !
Et l’on ne pourra que déplorer l’indignation , à géométrie variable , du président américain scandalisé par la mort de sept humanitaires mais pas pour les trente-trois mille Gazaouis tués par l’armée israélienne !
Pendant ce temps, avec cette attitude ambiguë de Joe Biden envers Israël , les livraisons d’armes américaines ne risquent pas de s’arrêter de sitôt !
Et la superpuissance américaine demeure prise en otage par le lobby sioniste !
Joe Biden évoque pour la première fois la possibilité d’un soutien sous conditions à Israël . Faut-il espérer un tournant ou une remise en question du soutien militaire alors que le soutien des Etats-Unis à Israël reste néanmoins inébranlable ?
Changement de ton
Le président américain aurait ainsi déclaré , durant une conversation avec le dirigeant israélien « qu’Israël devait annoncer et mettre en place des mesures spécifiques, concrètes et tangibles pour répondre à la souffrance des civils, à la crise humanitaire, et pour la sécurité des travailleurs humanitaires », selon un bref compte-rendu de l’échange téléphonique publié par la Maison Blanche.
Il a aussi « indiqué que la politique américaine, en ce qui concerne Gaza, serait déterminée par l’évaluation qu’il ferait des décisions immédiates prises par Israël » en ce sens. L’échange a duré une trentaine de minutes et le président américain a appellé Israël à un « cessez-le-feu » immédiat..
« Ce que nous attendons et espérons voir dans les heures et les jours à venir, c’est une augmentation spectaculaire de l’aide humanitaire, l’ouverture de nouveaux points de passage et une réduction de la violence à l’encontre des civils et certainement des travailleurs humanitaires », a déclaré à la presse, dans un second temps, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby.
Le président a été clair, a ajouté le parte-parole. L’aide sera déterminée par ces changements qui sont attendus dans les heures et les jours qui viennent.
Ce changement de ton de la Maison Blanche vis-à-vis d’Israël est donc très net, même si la Maison Blanche ne va pas jusqu’à définir ces changements attendus, ni même jusqu’à dire qu’ils conditionnent l’aide militaire américaine à Israël dans sa guerre à Gaza.
Joe Biden, qui a jugé « inacceptables » les frappes israéliennes ayant visé des travailleurs humanitaires, a également exhorté Benyamin Netanyahu à « conclure sans délai un accord » pour un « cessez-le-feu immédiat » dans la bande de Gaza.
Le président américain s’était dit, le 2 avril, « indigné » après la mort lundi de sept volontaires humanitaires à Gaza, dont six étrangers, tués par une frappe israélienne. Cet événement l’a « secoué », selon John Kirby, qui a reconnu que le président américain éprouvait un « mécontentement croissant », alors que le gouvernement israélien est jusqu’ici resté sourd à ses appels à agir face à la catastrophe humanitaire à Gaza.
Le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a adopté à Genève une résolution, non contraignante, appelant à stopper les ventes d’armes à Israël.
Par ailleurs , après les avertissements et ce changement de ton de la Maison Blanche, Tel-Aviv a aussitôt donné son feu vert à la livraison « temporaire » pour acheminer des vivres vers la bande de Gaza via le port d’Ashdod et le point de passage d’Erez.
Cette annonce survient au moment où la pression internationale s’accentue sur le gouvernement israélien, le président des États-Unis Joe Biden ayant évoqué pour la première fois la possibilité de conditionner l’aide américaine à Israël à des mesures « tangibles » face à la catastrophe humanitaire à Gaza.
Attitude ambiguë de Joe Biden envers Israël ! ?
A ce sujet, alors que le Canada avait voté pour la fin des livraisons d’armes à Israël et que le débat au sujet de stopper les ventes d’armes à Israël s’installe dans certains pays occidentaux, il n’est absolument pas envisageable que le mécontentement de la Maison Blanche puisse se traduire par une remise en question du soutien militaire des Etats -unis !
Et l’on ne pourra que déplorer l’indignation , à géométrie variable , du président américain scandalisé par la mort de sept humanitaires mais pas pour les trente-trois mille Gazaouis tués par l’armée israélienne !
Pendant ce temps, avec cette attitude ambiguë de Joe Biden envers Israël , les livraisons d’armes américaines ne risquent pas de s’arrêter de sitôt !
Et la superpuissance américaine demeure prise en otage par le lobby sioniste !
Joe Biden évoque pour la première fois la possibilité d’un soutien sous conditions à Israël . Faut-il espérer un tournant ou une remise en question du soutien militaire alors que le soutien des Etats-Unis à Israël reste néanmoins inébranlable ?
Changement de ton
Le président américain aurait ainsi déclaré , durant une conversation avec le dirigeant israélien « qu’Israël devait annoncer et mettre en place des mesures spécifiques, concrètes et tangibles pour répondre à la souffrance des civils, à la crise humanitaire, et pour la sécurité des travailleurs humanitaires », selon un bref compte-rendu de l’échange téléphonique publié par la Maison Blanche.
Il a aussi « indiqué que la politique américaine, en ce qui concerne Gaza, serait déterminée par l’évaluation qu’il ferait des décisions immédiates prises par Israël » en ce sens. L’échange a duré une trentaine de minutes et le président américain a appellé Israël à un « cessez-le-feu » immédiat..
« Ce que nous attendons et espérons voir dans les heures et les jours à venir, c’est une augmentation spectaculaire de l’aide humanitaire, l’ouverture de nouveaux points de passage et une réduction de la violence à l’encontre des civils et certainement des travailleurs humanitaires », a déclaré à la presse, dans un second temps, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby.
Le président a été clair, a ajouté le parte-parole. L’aide sera déterminée par ces changements qui sont attendus dans les heures et les jours qui viennent.
Ce changement de ton de la Maison Blanche vis-à-vis d’Israël est donc très net, même si la Maison Blanche ne va pas jusqu’à définir ces changements attendus, ni même jusqu’à dire qu’ils conditionnent l’aide militaire américaine à Israël dans sa guerre à Gaza.
Joe Biden, qui a jugé « inacceptables » les frappes israéliennes ayant visé des travailleurs humanitaires, a également exhorté Benyamin Netanyahu à « conclure sans délai un accord » pour un « cessez-le-feu immédiat » dans la bande de Gaza.
Le président américain s’était dit, le 2 avril, « indigné » après la mort lundi de sept volontaires humanitaires à Gaza, dont six étrangers, tués par une frappe israélienne. Cet événement l’a « secoué », selon John Kirby, qui a reconnu que le président américain éprouvait un « mécontentement croissant », alors que le gouvernement israélien est jusqu’ici resté sourd à ses appels à agir face à la catastrophe humanitaire à Gaza.
Le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a adopté à Genève une résolution, non contraignante, appelant à stopper les ventes d’armes à Israël.
Par ailleurs , après les avertissements et ce changement de ton de la Maison Blanche, Tel-Aviv a aussitôt donné son feu vert à la livraison « temporaire » pour acheminer des vivres vers la bande de Gaza via le port d’Ashdod et le point de passage d’Erez.
Cette annonce survient au moment où la pression internationale s’accentue sur le gouvernement israélien, le président des États-Unis Joe Biden ayant évoqué pour la première fois la possibilité de conditionner l’aide américaine à Israël à des mesures « tangibles » face à la catastrophe humanitaire à Gaza.
Attitude ambiguë de Joe Biden envers Israël ! ?
A ce sujet, alors que le Canada avait voté pour la fin des livraisons d’armes à Israël et que le débat au sujet de stopper les ventes d’armes à Israël s’installe dans certains pays occidentaux, il n’est absolument pas envisageable que le mécontentement de la Maison Blanche puisse se traduire par une remise en question du soutien militaire des Etats -unis !
Et l’on ne pourra que déplorer l’indignation , à géométrie variable , du président américain scandalisé par la mort de sept humanitaires mais pas pour les trente-trois mille Gazaouis tués par l’armée israélienne !
Pendant ce temps, avec cette attitude ambiguë de Joe Biden envers Israël , les livraisons d’armes américaines ne risquent pas de s’arrêter de sitôt !
Et la superpuissance américaine demeure prise en otage par le lobby sioniste !