La ministère de la Transition énergétique et du Développement durable a clarifié les modalités d’importation des déchets non dangereux au Maroc, suite à des informations erronées diffusées dans les médias et sur les réseaux sociaux. L’importation de ces déchets est strictement encadrée par la Convention de Bâle, ratifiée par le Maroc, et par la législation nationale en vigueur, notamment la loi n° 28-00 relative à la gestion des déchets et leur élimination.
Selon le ministère, le commerce international des déchets non dangereux, tels que les plastiques, les métaux ferreux et les pneus usagés, joue un rôle clé dans l’économie circulaire. Le Maroc, tout en maintenant des standards élevés de contrôle, profite de ce marché pour recycler et valoriser ces matériaux, les transformant en matières premières ou en produits industriels.
Depuis 2016, 416 autorisations ont été délivrées aux entreprises marocaines pour l’importation de ces déchets. Ces procédures sont soumises à des contrôles rigoureux, nécessitant des analyses physiques et chimiques des matériaux importés et une évaluation de leur nécessité pour les industries locales.
Ce processus de valorisation non seulement contribue à la réduction de la facture énergétique du pays, mais soutient également la création d’emplois dans divers secteurs, avec une perspective de 60 000 opportunités d’emploi d’ici 2030. De plus, il participe à la protection de l’environnement en réduisant les émissions de gaz à effet de serre et en améliorant la qualité de l’air.
Et vous croyez vraiment qu’on va croire ce que disent ces gens. Alors que nous sommes tous d’accord que depuis l’indépendance tous les dirigeants déclarent une chose et font autres choses. Êtes vous d’accord où pas ? Qui dit déchets ce sont des déchets. Et ne me racontez pas des histoires à dormir debout.