Le secteur de la santé au Maroc est plongé dans une crise persistante, marquée par l’incapacité des autorités à répondre aux revendications des médecins internes et résidents. Ces derniers ont entamé une grève de trois jours, du 15 au 17 octobre, accompagnée de sit-ins dans plusieurs hôpitaux à travers le pays. La Commission nationale des internes et résidents en médecine dénonce l’inaction du ministère de la Santé face à une situation qui affecte non seulement leur quotidien, mais aussi la qualité des soins offerts aux citoyens.
Cette grève, bien que n’affectant pas les services d’urgence, de réanimation et de garde, illustre une profonde exaspération. Les médecins protestent contre les conditions de travail “difficiles” et “inappropriées” dans lesquelles ils sont contraints d’exercer. Leur mécontentement repose sur ce qu’ils considèrent comme un « manque de sérieux » des autorités sanitaires dans le traitement de leurs revendications.
Malgré de nombreuses tentatives de dialogue, y compris des correspondances et des réunions avec des responsables, aucune avancée notable n’a été enregistrée. Les discussions semblent stériles et sans issue, plongeant le secteur dans une impasse. Le ministère de la Santé, dirigé par Khalid Ait Taleb, reste silencieux et n’a pris jusqu’ici aucune mesure concrète pour résoudre la crise.
Les médecins internes et résidents ne cessent de tirer la sonnette d’alarme sur les répercussions de cette situation sur le système de santé marocain. Le manque de réponse adéquate de la part des autorités ne fait qu’aggraver la frustration au sein du corps médical et soulève de sérieuses questions sur la gestion de cette crise qui, visiblement, n’a que trop duré. Une action rapide et décisive est indispensable pour éviter que la situation ne se détériore davantage.
Ou va t’on?
Des patients pris en Otage.
Des étudiants ont déprimés depuis le démarrage de la crise d’autres ..
Un médiateur mandaté …
Le sujet duré depuis …
Le statut quo est présent et pesant…
Ou Va t’on ?
…