Un nouveau scandale foncier vient secouer la région de Tétouan. Un dirigeant politique et un homme d’affaires influent font l’objet d’une enquête pour usurpation de terres suite à une plainte déposée sous le numéro 2024/3101/6203. Les plaignants accusent ces derniers d’avoir illégalement accaparé des terrains appartenant à des particuliers et d’avoir usé de méthodes violentes pour effacer les limites de ces propriétés.
Les faits se sont déroulés dans la commune d’Alien, où des citoyens ont été surpris de voir leurs terrains envahis et leurs clôtures détruites. Malgré la présentation de titres de propriété valides, ils se sont heurtés à un mur de silence de la part du dirigeant politique mis en cause.
Une enquête judiciaire a été ouverte pour faire la lumière sur cette affaire. La police judiciaire est chargée de recueillir tous les éléments de preuve et d’entendre les parties concernées. Le procureur du roi, quant à lui, aura la lourde tâche de déterminer les responsabilités et de prendre les mesures nécessaires.
Cette affaire s’inscrit dans un contexte plus large de conflits fonciers qui secouent le Maroc. Récemment, un milliardaire du nord a été condamné pour des faits similaires. Ces affaires mettent en évidence les failles du système et l’impunité dont bénéficient certains individus.
Il est urgent de renforcer les dispositifs de protection des droits de propriété et de lutter contre l’impunité. La justice doit être ferme et équitable pour rétablir la confiance des citoyens et mettre fin à ces pratiques illégales.
Il est temps d’arrêter ce massacre.
Quoi qu’il en soit.
Un grand promoteur étranger à s’octroie le pouvoir de détruire la forêt de Mediouna à Tanger en élevant illégalement les hauteurs de ses châteaux détruisant l’harmonie du paysage forestier. Personne ne lève le doigt
Quel dommage