Le président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF), Faouzi Lakjaa, son bureau fédéral et son staff technique peuvent savourer les fruits du travail accompli ces dernières années. Les résultats parlent d’eux-mêmes, et rien ne semble arrêter cette machine bien huilée.
Pour ne citer que quelques exemples de la semaine écoulée, les Marocains ont pu vivre leur passion grâce à une équipe nationale qui signe l’une des meilleures performances de l’histoire des qualifications pour la Coupe d’Afrique des Nations. À cela s’ajoutent la quatrième présence de l’équipe féminine des FAR en finale de la Ligue des Champions féminine, ainsi que les qualifications des équipes des jeunes, U17 et U20, aux phases finales des championnats d’Afrique, leur ouvrant de belles perspectives pour figurer dans les prochaines Coupes du Monde.
Le bilan de la restructuration du football national est plus que satisfaisant, bien que, comme aime à le rappeler l’insatiable coach de l’équipe nationale, Walid Regragui : « Il reste du travail à faire. »
Clairement et en toute modestie, la FIFA et l’ensemble de la planète football n’ont désormais d’yeux que pour le football marocain, qui avance à grands pas et se projette vers les sommets.
Avec le programme ambitieux de formation des jeunes joueurs, lancé à travers tout le pays et soutenu financièrement par le géant des phosphates, le groupe OCP, le Maroc aspire à figurer parmi les meilleures écoles et académies du football mondial. Sous la supervision de la fédération, tout porte à croire que le Maroc a tracé de grands objectifs et qu’il est en voie de les atteindre en toute légitimité.
Par Jalil Nouri
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