L’affaire judiciaire concernant la jeune avocate stagiaire française, identifiée sous les initiales F.S., et accusant des fils de grands hommes d’affaires marocains de viol, continue de susciter une vive attention. Lors d’une audience d’interrogatoire détaillé tenue devant le juge d’instruction de la chambre correctionnelle de la Cour d’appel de Casablanca, la plaignante, accompagnée de son avocate marocaine Khadija Roukani, a maintenu ses déclarations initiales malgré les pressions et tentatives de règlement à l’amiable.
Refus des offres de compensation
Selon des sources proches du dossier, l’avocate française a rejeté les offres financières et les tentatives de persuasion émanant des familles des accusés, notamment celles de Kamil B., principal suspect, et son ami Mohamed L. Ces propositions sont survenues après le retrait de la plainte initiale déposée par le fiancé marocain de la victime, qui est un responsable au sein de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM). Malgré cela, F.S. est restée ferme sur ses accusations, réaffirmant les faits tels qu’ils avaient été consignés dans un procès-verbal établi par les autorités françaises à Paris, où elle réside et exerce.
Des accusations graves de drogue et d’agression
La plaignante a nié toute relation consentie avec les accusés, affirmant qu’elle avait été droguée au GHB, une substance connue comme étant la « drogue du viol ». Elle a également réfuté les allégations selon lesquelles elle consommerait de l’alcool ou de la cocaïne, bien qu’un test médical ait détecté des traces de cette dernière. Toujours selon ses déclarations, elle poursuit un traitement psychologique pour surmonter les séquelles de l’agression sexuelle présumée, survenue lors d’une fête organisée dans la villa appartenant au principal accusé.
Sécurité renforcée lors de la fête
Les rapports préliminaires de l’enquête menée par la Brigade nationale de la police judiciaire révèlent que la fête en question avait été organisée sous haute sécurité. Des agents de sécurité privée avaient été postés à divers points stratégiques de la villa pour filtrer les invités. Parmi eux figurait un conseiller communal, également mis en cause dans cette affaire, qui circulait parmi les convives.
Le fiancé de la plaignante, dans sa plainte qu’il a depuis retirée, avait également accusé un des suspects de l’avoir violemment agressé physiquement, entraînant des fractures et des blessures à la tête.
Une bataille judiciaire en cours
F.S. a affirmé son intention de poursuivre les procédures judiciaires jusqu’à leur terme. De leur côté, les avocats des accusés contestent la version des faits présentée par la plaignante, évoquant l’existence d’une relation consentie et l’usage présumé de drogues dures par cette dernière. Des substances, dont de la cocaïne, auraient en effet été retrouvées lors de la perquisition de la villa.
L’affaire reste complexe et divisée, opposant des allégations graves à des contestations argumentées. Le prochain acte judiciaire est attendu avec les auditions des accusés principaux prévues la semaine prochaine.
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Abu Sakhra
30 jours il y a
Il s’agit bel et bien d’un VIOL, réalité établie par la les enquêtes de la Police Judiciaire…. Les allégations de « Wlad lafchoche » prétendant une « relation consentie » avec la FEMME victime sont fausses….
S’ils ont innocents selon leurs dires, pourquoi offrent ils de l’argent en compensation__…
Relation consentie à trois individus___toute une aberration.
On aimerait voir un châtiment exemplaire à ses agresseurs sexuels…
Dernière modification le 30 jours il y a par Abu Sakhra
Il s’agit bel et bien d’un VIOL, réalité établie par la les enquêtes de la Police Judiciaire…. Les allégations de « Wlad lafchoche » prétendant une « relation consentie » avec la FEMME victime sont fausses….
S’ils ont innocents selon leurs dires, pourquoi offrent ils de l’argent en compensation__…
Relation consentie à trois individus___toute une aberration.
On aimerait voir un châtiment exemplaire à ses agresseurs sexuels…
Pas de problème avec ouahbi et ses nouvelles lois on paye et on achète notre innocence.