Les autorités de Casablanca ont pris la décision de chasser les migrants subsahariens de la route d’Ouled Ziane. Cette décision a été prise suite aux nombreuses plaintes de riverains qui se sont plaints du fait que ces migrants envahissaient l’espace public et causaient des problèmes de sécurité.
Les migrants subsahariens sont souvent décrits comme des personnes désespérées qui fuient la pauvreté et les conflits dans leur pays d’origine en quête d’une vie meilleure. Beaucoup d’entre eux arrivent au Maroc dans l’espoir de trouver un passage vers l’Europe, où ils espèrent trouver du travail et un avenir meilleur.
Les migrants sont souvent confrontés à des obstacles et à de la discrimination en Afrique du Nord, où ils sont considérés comme indésirables. Certains citoyens du Royaume ont appelé à trouver des solutions définitives à l’occupation de certains espaces publics par des migrants illégaux, affirmant que ces regroupements illégaux encouragent la criminalité, en particulier tard dans la nuit. D’autres ont perçu cette chasse aux migrants comme inhumaine. Des organisations de défense des droits de l’homme ont condamné cette décision et ont appelé les autorités à mettre en place des solutions durables pour aider les migrants à trouver un toit et à s’intégrer dans la société. Elles ont également rappelé que ces migrants ont le droit de vivre dignement et que la chasse à l’homme n’est pas une solution acceptable.
Il est important de trouver des solutions durables pour aider les migrants à trouver un toit et à s’intégrer dans la société, plutôt que de les chasser de l’espace public. Cela nécessitera une coopération internationale et un soutien financier pour aider les pays d’origine des migrants à s’en sortir et à offrir des perspectives d’avenir à leurs citoyens.