Le scientifique marocain de renommée internationale, Rachid Yazami, a annoncé l’obtention d’un nouveau brevet en Chine, cette fois pour une innovation axée sur la sécurité des batteries des voitures électriques. Ce succès s’inscrit dans une série de distinctions récentes, soulignant l’apport majeur de Yazami au domaine des technologies des batteries.
Une innovation pour renforcer la sécurité des véhicules électriques
Dans une publication sur son compte officiel Facebook, Rachid Yazami a expliqué que ce brevet porte sur une solution visant à prévenir les courts-circuits internes dans les batteries. « Cette avancée rend les véhicules électriques plus sûrs, réduisant les risques d’accidents pouvant causer des blessures ou des pertes humaines », a-t-il déclaré. Ce développement technologique devrait jouer un rôle clé dans l’augmentation de la confiance des consommateurs envers les voitures électriques, tout en favorisant leur adoption à grande échelle.
Un parcours jalonné de découvertes
Cette annonce intervient seulement quelques semaines après que Yazami a obtenu un autre brevet en Chine portant sur la technologie de charge rapide des batteries, ainsi qu’un brevet au Japon visant à accélérer encore davantage la recharge des batteries au lithium pour les appareils électroniques.
Ces découvertes s’inscrivent dans la vision de Yazami, qui travaille depuis des décennies à repousser les limites des technologies de batteries, contribuant ainsi à la transition énergétique mondiale.
Une contribution à la transition vers les énergies propres
Avec cette nouvelle innovation, Yazami renforce l’idée que la sécurité et l’efficacité des batteries sont des éléments cruciaux pour accélérer le passage à l’énergie propre. « Ce type d’innovation est essentiel pour assurer une adoption massive des technologies électriques et pour lutter contre les défis climatiques actuels », a-t-il ajouté.
Les avancées du scientifique marocain mettent en lumière non seulement son génie, mais également la capacité du Maroc à contribuer à l’innovation technologique mondiale.
Par Nabila Semmar