Les 26 personnes poursuivies pour falsification de diplômes de l’Université internationale de Rabat ont été condamnées à de lourdes peines par la chambre criminelle du tribunal de la cour d’appel de Casablanca.
Le principal accusé, un employé de l’université, a été condamné à 8 ans de prison pour son rôle de premier plan dans ce réseau de falsification de diplômes. Les deux médiateurs qui ont facilité l’obtention de faux diplômes contre de l’argent ont également été condamnés à des peines de 5 ans de prison. Un troisième accusé a écopé de 7 ans de prison, tandis que les autres prévenus ont été condamnés à des peines allant de 8 mois à 2 ans de prison.
Le fait que cette affaire ait été portée devant la chambre criminelle du tribunal de la cour d’appel montre l’importance et la gravité de cette falsification de diplômes. La falsification de diplômes est un problème sérieux qui peut avoir de graves conséquences sur les individus et sur l’ensemble de la société. Lorsqu’une personne obtient un diplôme de manière frauduleuse, elle peut accéder à des postes et à des responsabilités pour lesquels elle n’est pas qualifiée, mettant ainsi en danger la vie des autres et mettant en péril l’intégrité de l’organisation pour laquelle elle travaille.
Il est donc important que les autorités compétentes prennent des mesures pour lutter contre la falsification de diplômes et punissent sévèrement les coupables. La condamnation de ces 26 personnes pour leur rôle dans la falsification de diplômes de l’Université internationale de Rabat envoie un message clair selon lequel la falsification de diplômes ne sera pas tolérée et que les coupables seront tenus responsables de leurs actes.