Face à l’escalade des violences et des vols à main armée dans l’espace public, le Maroc adopte une posture répressive sans précédent. L’application stricte de l’article 507 du Code pénal représente un tournant majeur dans la lutte contre la criminalité : toute personne reconnue coupable de vol avec usage d’une arme – y compris une arme blanche, qu’elle soit visible ou dissimulée – s’expose désormais à de lourdes peines, allant de 10 ans de réclusion criminelle jusqu’à la perpétuité dans les cas les plus graves.
Ce durcissement législatif, salué par de nombreux citoyens, intervient dans un contexte marqué par la recrudescence inquiétante des agressions au couteau, au sabre ou à la machette, particulièrement dans les quartiers populaires et les zones urbaines denses. Les faits divers relatant des attaques brutales se multiplient dans les médias, alimentant un climat d’insécurité et de peur dans la population.
La nouvelle interprétation de l’article 507 ne laisse place à aucune ambiguïté : la peine s’applique même en l’absence de circonstances aggravantes et même si le délit a été commis par un individu isolé. Elle concerne aussi les cas où une arme est retrouvée dans le véhicule utilisé pour commettre ou fuir le crime.
Mais au-delà de la réponse pénale, la société marocaine s’interroge : qu’est-ce qui pousse un jeune à sortir dans la rue avec une lame dans la poche ? Le chômage, la marginalisation, la perte de repères familiaux, l’échec scolaire ? Autant de facteurs qui alimentent un sentiment d’abandon, une désespérance propice à la violence.
Certes, la sévérité des peines envoie un message fort : la tolérance zéro est désormais la règle. Mais le traitement de fond est indispensable : sensibilisation, encadrement, intégration sociale et éducation doivent être au cœur de la réponse collective. Car lutter contre l’insécurité, c’est aussi reconstruire le lien social.
Un couteau dans une main désespérée n’est pas une arme de courage, mais un symptôme d’un malaise profond. Et chaque lame levée contre un citoyen est une entaille dans le tissu de la sécurité nationale.
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Les jeunes veulent l’argent facile. Ne veulent pas travailler. Aujourd’hui le secteur de l’immobilier souffre du manque de main d’œuvre qualifiée ou non. En plus l’administration pénitentiaire doit réserver une prison spéciale pour cet article 507 loin des grandes villes et où il n’y a qu’un seul repas par jour et les visites interdites ou limitées à une fois par an.
Les jeunes veulent l’argent facile , ne veulent pas étudier ni travailler , les syriens les africains sont venus au maroc démunit et ont trouvé du travail et constitué un patrimoine et ont constitués des familles , le jeune flemard veux se reveiller a 14:00 et aller au café et avoir un iphone , le travail est a gogo au maroc celui qui dit le contraire doit repondre a cette question , pourquoi les africains trouvent du travail dans tous les corps de metiers pourquoi les syriens avec zero dh trouvent aussi du travail , baraka men lefchouf noudou khedmou 3la raskom , lkhedma moujouda