Ainsi nommé, il était normal que le plus grand stade du monde porte celui d’un dirigeant entré dans l’histoire comme un bâtisseur et un grand homme d’État, celui qui est à l’origine de l’idée audacieuse et ingénieuse d’organiser la Marche Verte pour parachever l’intégrité territoriale du Maroc. Le stade aurait donc pu voir associer son nom au Sahara en lettres géantes pour marquer les esprits à travers le monde.
Pourquoi donc ne pas avoir pensé, à défaut d’avoir opté pour un stade conçu avec une architecture reprenant la carte du royaume, à au moins avoir repris tout son périmètre sous forme de carte générale du royaume avec, au centre, trônant au milieu, l’édifice central ? Ce qui, vu du ciel par les drones des télévisions lors des retransmissions, donnerait une vue d’ensemble saisissante et inoubliable pour les milliards de spectateurs du Mondial.
S’il est trop tard pour revoir les plans du stade, pour ceux des alentours, tout reste possible dans l’aménagement du paysage à cet effet, qui apprendrait à toutes les générations la signification de ce décor paysager.
Si l’idée n’est pas très originale, puisqu’elle a déjà été utilisée dans le football avec le club même du président de la fédération, Faouzi Lakjâa, dont l’équipe porte sur son maillot la carte du Maroc avec son Sahara — dont on a pu voir l’impact —, ce concept a le mérite d’être lancé, au cas où il serait jugé viable et pertinent de l’évoquer avec le cabinet d’architectes Populous, choisi par le Maroc pour cette réalisation grandiose.
Associer l’histoire glorieuse du Maroc à une compétition universelle de football et à un stade légendaire resterait un exemple unique dans les annales de cette discipline, et un motif de fierté exceptionnel pour les Marocains, pour tous les amateurs de football que compte la planète, pour la FIFA — l’instance dirigeante au niveau mondial —, une histoire qui sera reprise comme un leitmotiv à chaque grand événement que ce stade est appelé à accueillir à l’avenir, en 2030, mais bien au-delà, avec un ancrage rare.
Par Jalil Nouri
.
La carte actuelle du Maroc , même avec le Sahara reste incomplète. Donc , ta proposition ne tient pas, attendons la récupération de notre Sahara Oriental.
En Architecture : l’esthétique et l’image viennent en 3eme stades après le côté : répartition fonctionnelle et viabilité technique.
Donc, impossible de sacrifier deux critères fondamentaux pour s’adapter et miroiter une vue aérienne..
C’est possible sur un maillot de foot ..mais ni ka dimension ni l’enjeu ne sont pas les mêmes.
La première chose c’est concevoir ce stade dont l’architecture, l’esthétique et la modernité soient aussi surprenantes que l’idée de feu le Roi Hassan II de la Marche Verte et l’objectif premier de Fouzi Lekjaa sera d’obtenir la finale de la coupe du monde 2030 au Maroc dans ce stade là.
تحتكم الأمم في صناعةازمنتهاالى التاريخ الذي هو استمرار حقيقة الزمن في قوة اندفاعها التي لا تستطيع اي قوة الوقوف في وجه حركتها.ين
Ça sera une erreur,parcequ’ il reste d’autres territoires encore occupés à savoir :ceuta et Mellilia et le sahara est.
Ce ne serait qu’un faire valoir, pour une cause!! Alors qu’il y a un vide qui nous couvrent la chaire en conséquence de cause. En soit, Hassan 2 que dieu l’agrée porte aujourd’hui encore, tout les vides qu’ils nous restent à combler. Pourquoi Tanger de modifier ce que représente Feu Hassan 2. Grand roi et un grand dirigeants qui a marqué le vingtième siècle. Dieu et l’histoire seul jugerons des mes actes. Alors un circuit pédagogique lumineux qui racontent par des images vivante qui raconte tout depuis l’intronisation de H2 que dieu le garde.