Un récent rapport publié dans la revue Politique et Société Internationale, éditée par la Fondation Friedrich Ebert, sonne l’alarme : l’approche passive de l’Union européenne face à la rivalité persistante entre le Maroc et l’Algérie lui coûte cher — stratégiquement et économiquement. Loin de se limiter à une simple affaire régionale, ce différend impacte déjà la sécurité, l’énergie et la stabilité migratoire en Méditerranée.
Bruxelles est invitée à changer de posture. Selon le rapport, l’Union ne peut plus se contenter de prôner de bonnes relations de voisinage. Elle doit activement parrainer des initiatives de dialogue informel, dites de « deuxième voie », entre acteurs de la société civile, du monde universitaire et du secteur privé des deux pays. Objectif : recréer un minimum de confiance en vue de négociations officielles.
Le document rappelle qu’en dépit de leur rupture diplomatique depuis 2021, Rabat et Alger demeurent des partenaires stratégiques de l’Europe en matière de sécurité et d’approvisionnement énergétique. Or, l’UE continue de traiter ce conflit comme une tension contenue, négligeant les risques d’un engrenage sécuritaire régional. Le précédent israélo-palestinien sert ici d’avertissement.
L’exemple de la fermeture du gazoduc Maghreb-Europe est cité comme illustration frappante des conséquences concrètes de cette inaction. De même, l’interruption de la coopération sécuritaire entre les deux voisins limite les capacités de lutte contre le terrorisme et le crime organisé, reportant la pression sur les frontières européennes.
Le rapport conclut en appelant à une refonte du positionnement européen. Alors que l’UE s’attelle à redéfinir son « Pacte pour la Méditerranée », elle aurait là une opportunité unique d’agir concrètement, en misant sur des mécanismes souples, discrets mais efficaces, tout en soutenant les forces de la société civile œuvrant à une désescalade durable.
L’EUROPE a la responsabilité de ne pas exiger d’avoir à commercer aussi bien en son nom que d’exiger à devoir s’adresser, pour tous échanges économiques et géo politiques de manières générales, à chacun des acteurs du Maghreb SOUS DES ACCORDS IDENTIFIES ET RACCORDES A l’UMA (Union du Maghreb Arabe) envisagée par sa Majesté HASSAN II par les accords de Marrakech. Cette décision exigerait en cela la mise en œuvre de solutions politico économiques résolutoires aussi bien pour elle même que pour les pays constituant l’UMA pour tout ce que sont les échanges nécessaires pour développements, problèmes énergétiques, économiques comme migratoires ! L’UMA représente un potentiel et un bloc de croissance aussi bien pour les populations maghrébines que pour celles de l’Europe dans les blocages qu’elles ne font à elles deux que s’imposer ! Diplomatie quand tu nous tient ????
Et oui…ZOUJ BGHALs bien fatigués qui cherchent à se réconcilier…En vain…
On verra…
La militaroceatiecakgérienne s’obstine devgarder ke pouvoir par son patriotisme maladif qui a poussé l’État marocain à pacter avec ke DIABLE : NORMALUSATION avec les SIONISTES…