Un scandale d’une gravité extrême vient d’éclater à Marrakech, impliquant un milliardaire marocain détenteur de la nationalité française, arrêté récemment par les éléments du centre judiciaire relevant de la Gendarmerie royale. L’homme est accusé d’avoir installé des caméras dissimulées dans les chambres à coucher et salles de bain de sa villa de luxe, utilisée pour accueillir des touristes étrangers, notamment des ressortissants américains et suisses.
Selon des sources concordantes, le stratagème sordide a été découvert par les victimes elles-mêmes, qui ont remarqué la présence anormale de petits dispositifs électroniques dans des endroits sensibles de la maison. Alertés, ils ont aussitôt déposé une plainte, déclenchant l’intervention des services de gendarmerie. Une enquête a permis de saisir les caméras ainsi que les enregistrements compromettants, mettant en évidence des atteintes graves à l’intimité et à la vie privée des visiteurs.
Les touristes suisses, après avoir quitté le territoire marocain, ont été entendus par la police judiciaire et ont relayé leur mésaventure à travers des médias officiels en Europe, provoquant une onde de choc auprès des professionnels du secteur touristique marocain.
Cette affaire jette une ombre lourde sur l’image du tourisme au Maroc, un secteur stratégique pour l’économie nationale et la confiance des voyageurs internationaux. Ce type de location non réglementée, en dehors des circuits officiels du tourisme, échappe souvent aux contrôles de conformité et aux normes de sécurité.
De nombreux observateurs appellent aujourd’hui à renforcer les contrôles sur les locations de courte durée, notamment les villas mises à disposition sur des plateformes privées, et à appliquer la loi avec la plus grande fermeté contre ceux qui bafouent les droits et la dignité des visiteurs étrangers.