Un rapport récent de la revue norvégienne Geopolitika, spécialisée en relations internationales, revient sur l’impasse du conflit régional autour du Sahara. Selon ses auteurs, « la véritable difficulté de l’Algérie est que sa position sur le dossier du Sahara est devenue un fardeau en soi », citant comme exemple l’évolution des relations avec la France.
Depuis que Paris a reconnu, en juillet 2024, la légitimité des revendications marocaines sur le Sahara, Alger a réagi en rappelant son ambassadeur et en multipliant les critiques. Les tensions se sont accentuées, notamment dans le domaine de la coopération sécuritaire. La France reproche à Alger de freiner les procédures de réadmission des ressortissants sous le coup d’une expulsion, tandis que l’affaire de l’écrivain Boualem Sansal – condamné à cinq ans de prison après avoir déclaré que certaines parties de l’Est marocain avaient été données à l’Algérie par la France – a exacerbé les divergences.
Dans ce contexte, Paris a suspendu en août dernier l’exemption de visas pour les diplomates et responsables algériens, un tournant majeur. À l’inverse, les relations franco-marocaines ont pris une trajectoire différente, marquée par un rapprochement croissant.
La revue rappelle que le différend entre Rabat et Alger trouve son origine dans le soutien apporté par cette dernière au Front Polisario, mouvement séparatiste armé créé en 1973 et jamais reconnu par l’ONU. Après une guerre contre le Maroc et la Mauritanie, un cessez-le-feu a été signé en 1991. Depuis 2007, le Maroc défend une initiative d’autonomie largement soutenue – plus de 116 pays y ont adhéré – tandis qu’Alger continue de la rejeter.
Au final, l’analyse de Geopolitika met en lumière l’asymétrie des postures : d’un côté, un Maroc qui ne cesse de réaffirmer sa volonté de dialogue et de réconciliation ; de l’autre, une Algérie enfermée dans un refus qui l’isole sur la scène internationale. Or, l’avenir du Maghreb dépend largement de la capacité de ses deux principales puissances à dépasser un différend hérité du passé. La constitution d’un espace maghrébin intégré offrirait non seulement des perspectives économiques et agricoles inédites, mais aussi une sécurité régionale renforcée face aux menaces transnationales. Dans un monde en recomposition, marqué par les crises énergétiques, alimentaires et climatiques, la coopération entre Rabat et Alger n’est plus un choix politique mais une nécessité stratégique. Le Maroc, en multipliant les appels à l’apaisement, pose les jalons d’un avenir commun que seule une volonté politique partagée pourrait transformer en réalité tangible.
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Les malades mentaux qui sont internés en Asile »jerry », sont des cas incurables malmenés par une mafia militaire octogénaire.
Entant que mauritanien je vois que l’Algérie malheureusement gouvernée par des vieillards militaires hors temps et dépassés par les événements : gauchistes inspirés par leur manne financière pétrolière et gazière, ce sont entrain de nuire à une jeunesse qui n’arrive plus à s’en débarrasser ! Je pense que les USA doit absolument réagir et évacuer ces milices incompétentes et bavardes et imbues de leurs histoires promptes et communistes
Le Maroc attendra l’effondrement du régime militaire algérien
Car avec les caporaux d’Alger rien n’est possible
Et cela fait un demi siècle
Zouj bghal… Mentalité têtue de deux mulets… Laissew les peuples loin des diatribes politiques….
Hier c’était le cas, aujourd’hui les choses ont évolué. On a dépassé zouj Bghal il y a énormément de bghel en Algérie qui tiennent toute la population et les richesses algériennes d’une main de fer.