Alors que l’ONU et la communauté internationale, parmi laquelle les grandes puissances, plaident pour un règlement définitif et immédiat du conflit artificiel créé par l’Algérie autour de la question du Sahara, ce pays continue de traîner les pieds en imposant tantôt des conditions, tantôt des arrangements pour retarder le processus de paix qui se dessine, avec ou sans elle, et dans les plus brefs délais.
Bien qu’annonçant avec insistance et rappelant le soutien de l’administration Trump à la souveraineté marocaine sur son Sahara, son conseiller pour l’Afrique et le Moyen-Orient semble privilégier pourtant un ton mesuré et optimiste en considérant que l’Algérie montre désormais une prédisposition à négocier à travers le dialogue, contrairement au passé, pour une sortie honorable de ses protégés séparatistes, ou ce qu’il en reste, histoire de faire durer encore l’aboutissement prévu.
Un avis que partage, par ailleurs, l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, Stefan de Mistura, et qui, lui aussi, croit en la bonne foi des Algériens.
Mais les faits sont têtus depuis le début du conflit, puisqu’il ne s’est prolongé que par la faute du pouvoir algérien, qui s’est évertué à faire échouer, jusqu’à une période récente, toutes les médiations et tentatives de règlement du conflit pour servir ses propres intérêts et ses desseins expansionnistes au détriment de son voisinage.
Avec tout ce qu’elle menace pour la stabilité de la région et en alimentant ce foyer de tension depuis 50 ans, l’Algérie fera tout ce qui lui reste de sa crédibilité à l’échelon international pour trouver des subterfuges diplomatiques, comme son credo consistant à refuser d’être considérée comme partie prenante d’un conflit qu’elle a créé et entretenu. Il semble bien, aujourd’hui, que cette mascarade a assez duré et que l’urgence et le temps de changer de discours avec Alger sont venus, en lui lançant un ultimatum ferme : « La paix, c’est maintenant », sans tergiversations ni conditions.
Par Jalil Nouri
L’heure de vérité a bien soné après que le clan d’Oujda a menée une guerre frontale avec ses mercenaires interieures ses amis de l’extéreiures pour détruite une grande nation d’histoire , un pays qui a secouru et appeler à l’existane et la naissance de l’Alghérie sans le Marovc cette algérie a renié son hiostoire de clan hébérgé et armé au maroc avec un passeport marocain a mis son argent sa population contre un pays qui a son histoire sa terre il a meme attaqué au nord est Feguig un commeback de 1963 la guerre des sables montre bien que ce pays est gouverné par des gens particuliers . Maintenant il faut payer cette déroute et cett soufrance d’avoir vider l’algérie par ces marocaisn foutusà la porteen 1975 la marche Noire gravé dans l’eprit des marocaisn et la tuerie des jeunes MRE qui passaient leur vacances à proximité de la frontière
il y a un esprit de guerre avec eux meme heureusement que le maroc a montré une patience de 50 ans pour arriver à leur laisser une posrte de sortie et une solidité d’un peuple marocain quies venu au secours de la moitié de la population du sud de tarfaya après la libération d ela zone sud au nord en février 1958 que les marocaisnont libérs à l’époque du Roi Mohammed V tan et tarfay opération Ecouvillon a fait coupé notre sahara en 2 zones et la partition de notre sahara pour récupérer le reste Ifni en 1969 et notrepartie restante en 1975 du clonialisme Espagnol ce qui n’ apas plu à Boukharrouba et sa bande sans arguments historiques ni famile perdus juste pour sa démagogie en mettant des pays amis à lui en Guerre coomme ses troupes à Amgala 1et 2
L’histoire dira cette vérité incroyablesur un voisin d’histoire si récente .