Des tomates contaminées , du thé contenant des résidus de pesticides, des fraises douteuses, des olives farcies de produits chimiques et tout récemment de la farine impropre à la consommation : le consommateur marocain est régulièrement soumis à des risques sanitaires qui menacent sa santé et même sa vie.
Ce consommateur est d’autant plus mis à rude épreuve par la mauvaise qualité de certains aliments que lui-même, honnêtement, est trop souvent laxiste, inconscient et irresponsable par rapport à la vigilance que devrait adopter tout un chacun.
Entre lesfraudes et la corruption, les contrôles qui ne sont pas systématiques sont apparemment soit complaisants soit inefficaces.
Le risque zéro n’existe franchement pas, et il est flagrant et évident que les autorités sanitaires sont incapables de passer à la loupe tous les risques sanitaires afin de traquer les fraudeurs et les tricheurs et réduire au maximum tout risque de menace d’insécurité alimentaire et sanitaire.
Soit il s’agit d’un problème de compétences techniques et dans ce cas , il est urgent et vital de moderniser dans la rigueur et la transparence, soit ce sont des lobbies qui s’arrangent pour que personne ne vienne déranger leurs petites affaires.
En matière d’insécurité sanitaire, il n’y a jamais de fumée sans feu !
Dans les deux cas, le Royaume du Maroc qui accueille des millions de touristes et qui s’apprête à accueillir une coupe du Monde ne peut prendre en aucun cas des risques de catastrophe sanitaire.
Il y a, par ailleurs, une réalité économique à ne pas occulter et qui voudrait qu’il est impossible de produire de la qualité à des prix soutenables socialement puisque inaccessibles pour la majorité des consommateurs !
La qualité a un coût , l’insécurité alimentaire et sanitaire a un prix !
Mais, cela n’est absolument pas une excuse pour ne pas adopter une véritable politique de sécurité sanitaire.
Pour cela, une modernisation de la législation en vigueur et une harmonisation rationnelle des contrôles vers plus d’efficacité sont les seules conditions pour améliorer le système de sécurité sanitaire, en ayant en permanence des informations disponibles de la fourche à la fourchette !
Il n’y a jamais de fumée sans feu et de la fraude alimentaire à la fraude tout court, il n’y a qu’un pas : celui qui menace la vie des consommateurs et qui risque de porter un gros préjudice à la réputation du pays.
Ceci , car si la qualité a un coût , l’insécurité alimentaire et sanitaire a un prix !
En attendant que le Principe de Précaution soit inscrit dans la constitution ou puisse bénéficier d’un cadre juridique adéquat, il est de l’obligation de l’Etat de réunir toutes les compétences et les connaissances scientifiques et de mobiliser les ressources humaines, logistiques et matérielles nécessaires afin de mettre en place une stratégie cohérente et sans failles dans le but de parer à toute éventualité et anticiper toutes les menaces imprévues et les risques invisibles.
On en reparlera certainement , si vous le voulez bien.
Des tomates contaminées , du thé contenant des résidus de pesticides, des fraises douteuses, des olives farcies de produits chimiques et tout récemment de la farine impropre à la consommation : le consommateur marocain est régulièrement soumis à des risques sanitaires qui menacent sa santé et même sa vie.
Ce consommateur est d’autant plus mis à rude épreuve par la mauvaise qualité de certains aliments que lui-même, honnêtement, est trop souvent laxiste, inconscient et irresponsable par rapport à la vigilance que devrait adopter tout un chacun.
Entre lesfraudes et la corruption, les contrôles qui ne sont pas systématiques sont apparemment soit complaisants soit inefficaces.
Le risque zéro n’existe franchement pas, et il est flagrant et évident que les autorités sanitaires sont incapables de passer à la loupe tous les risques sanitaires afin de traquer les fraudeurs et les tricheurs et réduire au maximum tout risque de menace d’insécurité alimentaire et sanitaire.
Soit il s’agit d’un problème de compétences techniques et dans ce cas , il est urgent et vital de moderniser dans la rigueur et la transparence, soit ce sont des lobbies qui s’arrangent pour que personne ne vienne déranger leurs petites affaires.
En matière d’insécurité sanitaire, il n’y a jamais de fumée sans feu !
Dans les deux cas, le Royaume du Maroc qui accueille des millions de touristes et qui s’apprête à accueillir une coupe du Monde ne peut prendre en aucun cas des risques de catastrophe sanitaire.
Il y a, par ailleurs, une réalité économique à ne pas occulter et qui voudrait qu’il est impossible de produire de la qualité à des prix soutenables socialement puisque inaccessibles pour la majorité des consommateurs !
La qualité a un coût , l’insécurité alimentaire et sanitaire a un prix !
Mais, cela n’est absolument pas une excuse pour ne pas adopter une véritable politique de sécurité sanitaire.
Pour cela, une modernisation de la législation en vigueur et une harmonisation rationnelle des contrôles vers plus d’efficacité sont les seules conditions pour améliorer le système de sécurité sanitaire, en ayant en permanence des informations disponibles de la fourche à la fourchette !
Il n’y a jamais de fumée sans feu et de la fraude alimentaire à la fraude tout court, il n’y a qu’un pas : celui qui menace la vie des consommateurs et qui risque de porter un gros préjudice à la réputation du pays.
Ceci , car si la qualité a un coût , l’insécurité alimentaire et sanitaire a un prix !
En attendant que le Principe de Précaution soit inscrit dans la constitution ou puisse bénéficier d’un cadre juridique adéquat, il est de l’obligation de l’Etat de réunir toutes les compétences et les connaissances scientifiques et de mobiliser les ressources humaines, logistiques et matérielles nécessaires afin de mettre en place une stratégie cohérente et sans failles dans le but de parer à toute éventualité et anticiper toutes les menaces imprévues et les risques invisibles.
On en reparlera certainement , si vous le voulez bien.










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