La Coupe du monde 2026, qui réunira pour la première fois 48 sélections réparties entre le Mexique, le Canada et les États-Unis, s’annonce déjà comme une édition résolument innovante. La FIFA a officialisé lundi une mesure inédite : l’instauration de deux pauses boisson obligatoires lors de chaque rencontre, quel que soit le climat ou les températures.
Concrètement, chaque match sera systématiquement interrompu après 22 minutes de jeu au cours de chaque mi-temps, pour une durée de trois minutes. Ces pauses, jusqu’ici réservées aux conditions de forte chaleur, seront désormais universelles afin d’assurer des conditions de jeu équitables pour l’ensemble des équipes, indépendamment du lieu, de la météo ou même de la présence d’un toit rétractable sur les stades. Le début et la fin de chaque arrêt seront signalés par un coup de sifflet de l’arbitre. En cas d’interruption antérieure pour blessure, la pause pourrait être avancée dès la 20e ou la 21e minute.
Cette nouvelle organisation ouvre également la porte à un format de match segmenté en « quarts-temps », et selon certaines sources, des écrans publicitaires pourraient être diffusés durant ces coupures, un clin d’œil assumé aux pratiques du sport-spectacle nord-américain.
Mais la révolution ne s’arrête pas là. La FIFA a aussi annoncé trois cérémonies d’ouverture distinctes : l’une pour le match inaugural Mexique–Afrique du Sud le 11 juin, et deux autres pour lancer officiellement la compétition au Canada et aux États-Unis.
Enfin, autre première historique : un véritable show de mi-temps sera organisé lors de la finale, à l’image du mythique spectacle du Super Bowl. Une façon de mêler sport et divertissement grand public pour transformer l’événement planétaire en un rendez-vous encore plus fédérateur.
Avec ces innovations, le Mondial 2026 promet de redéfinir les codes du football-spectacle, entre exigences sportives, équité sanitaire et mise en scène XXL.











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