Un tribunal espagnol a récemment décidé de rendre la petite « Mariam » à sa famille après que les autorités espagnoles l’aient prise, alléguant qu’elle avait été victime d’agression sexuelle de la part de son père. Cette décision a été prise après la nomination d’un avocat et suite aux pressions de la communauté marocaine en Espagne.
La communauté marocaine avait critiqué la décision initiale des autorités espagnoles, la jugeant suspecte, d’autant plus que les certificats médicaux obtenus pour l’enfant n’avaient rien prouvé de tel. Les autorités espagnoles s’étaient basées sur des informations verbales de son enseignante qui lui avait montré un modèle d’organe masculin lors d’un cours.
Le jugement a été perçu comme une tentative de vengeance contre les familles vulnérables pour les empêcher de demander une aide future. Le manque de preuves soutenant de telles allégations a été souligné et qualifié de préjudiciable pour l’identité et les valeurs conservatrices de la communauté.
En réponse à cette situation, les membres de la communauté ont organisé un rassemblement de protestation devant la mairie locale. La famille de « Mariam » a assisté à la protestation, se demandant pourquoi les autorités espagnoles avaient laissé le père cinquantenaire se promener dans les rues si sa fille avait été agressée.