La coupe est décidément pleine avec un Abdelilah Benkirane, le leader du PJD et ancien chef du gouvernement, qui dépasse actuellement toutes les règles de la bienséance et du politiquement correct. Tirant sur tout ce qui bouge depuis son smartphone, il multiplie les sorties fracassantes.
Traitant un jeune membre du gouvernement de « barhouche », que l’on peut traduire par « ministre en culottes courtes », et qualifiant d’autres de manchots, Benkirane ne s’arrête pas aux attaques personnelles et aux insultes. Il pousse le bouchon très loin avec des appels à la liquidation de personnalités, à la manière des prédicateurs d’un autre âge, en lançant des « fatwas » à tort et à travers.
La dernière en date vise un patron de médias, accusé par Benkirane d’avoir commis l’irréparable en signant une contribution dans un journal israélien. Ce geste a fait sortir de ses gonds le chef du PJD, désormais qualifié par certains observateurs de « Jamâa » aux mains d’un homme ayant exercé l’une des plus hautes fonctions, mais qui ne respecte pas le devoir de réserve. Il a transformé un parti politique important en une entreprise privée servant ses intérêts particuliers, surtout matériels.
Son déchaînement tous azimuts vise avant tout à recueillir des voix au sein de sa formation pour contrecarrer l’ascension de jeunes loups ambitionnant de prendre sa succession.
Atteint de mégalomanie aiguë, l’impétrant, qui continue de profiter des largesses de l’État, ne semble plus se fixer de limites. Il va jusqu’à interpeller le souverain et à s’interroger sur les prérogatives de la Commanderie des Croyants (Imarate Al Mouminine) incarnée par le roi Mohammed VI. Par là, il dépasse les limites du respect envers la personne du souverain, oubliant qu’il en a été le premier serviteur.
Benkirane ferait mieux de songer à une retraite instructive sur la philosophie du pouvoir et de s’éloigner de son smartphone pour adopter un usage plus réfléchi des réseaux sociaux.
Par Jalil Nouri
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Il faut qu’une personne parmi les victimes de ses diffamations répétées prenne son courage à deux mains et porte plainte. Je pense qu’il finira un jour aux côtés de son bien aimé mehdaoui. Les gens ne doivent pas rester les bras croisés devant ses insultes répétées.
Benkirane bénéficie injustement d’une pension de retraite plus que confortable de 70 000 dhs pas mois. Il est malhonnête cupide et ingrat. Le faire taire est de l’ignorer.
Nous sommes dans un pays où tout le monde peut s´exprimer librement et dire son avis et ne pas laisser le champs libre pour les salopards et Mécréants qui ne veulent que l´humiliation pour les Marocains.
Je ne partage pas votre avis. In ne délire pas, au contraire, il dit haut ce que beaucoup de gens pensent bas. Il a exprimé ce que des millions de marocains ressentent envers le courant sioniste qui soutient les criminels de guerre israéliens, contre lesquels des mandats d’arrêt international a été décidé par la CPI.
عبد الجليل النوري تتمتع بحرية كبيرة وواسعة لتقول ما تريد كما تريد باللغة التي تريد. مع كامل الأسى و الأسف ومع كل الأسى و الأسف. إما أن زماننا مر وذهب وانصرف، او أن زمانك تسارع كثيرا. أنا هنا لا ادافع عن ابن الكيران. انا أشد الناس كرها وعداء له لأن الفرصة التي قدمت له لم يحسن التصرف فيها. ولكن أنت يا عبد الجليل؛ لو ان لي بك قدرك… آه على زمان بكيت منه##ولما صرت الى غيره بكيت عليه.