L’affaire d’un viol commis sous l’effet de substances interdites alimente ces derniers jours les conversations dans les salons des maisons cossues de la capitale économique.
Les mis en cause dans ce viol collectif sur une ressortissante française au cours d’une soirée privée sont trois jeunes issus de familles riches, bien connues, dont les noms ont fuité pour deux d’entre elles, alors que le troisième est gardé secret pour l’instant, mais plus pour longtemps.
Il s’agit de la famille El Alj, dont le chef n’est autre que le patron des patrons et président de la CGEM, Chakib El Alj, qui voit son fils, Mhamed, accusé par la plaignante française. La seconde, du nom de Bennis, tout aussi connue parmi les riches familles de Casablanca, a vu également l’un des siens, prénommé Kamil, lui aussi mis en détention préventive et interrogé actuellement par la Police Judiciaire, suite à la double plainte déposée par la victime à Paris et Casablanca.
Les détails sur cette sombre affaire sont distillés au compte-gouttes, sans les précautions d’usage, mais à une échelle virale sur les réseaux sociaux, car les trois jeunes sont des figures incontournables de la jet-set casablancaise et du monde de la nuit avec tous ses excès.
Parmi ces excès justement, des produits prohibés, comme ceux utilisés la nuit de l’agression au cours de laquelle la jeune Française aurait été « endormie » et soumise sous produit chimique à une agression sexuelle collective des trois fêtards, sans plus de précisions pour l’instant.
Par Jalil Nouri
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De tout cœur avec cette jeune fille. Le seul point positif de cette affaire est que la victime est étrangère et n’a donc pas peur d’aller porter plainte. Mais nous sommes au Maroc et ils sont connus, ils s’en sortiront. Par contre leur réputation est fichue et çà, c’est magnifique
encore des dérives commises par Oulad lafchouch. Quand l’argent dépasse le raisonnable et permet la consommation de drogue, alcools , le pire est à craindre
Nous espérons que la justice prendra son cour normal loin des interventions
Comme s’il n’y avait que les riches qui commettent des viols… n’importe quoi. Et quand ce sont des riches on balance les noms sans hesitation, honteux.