La justice marocaine a rendu un verdict plus sévère le mercredi 15 novembre, en révisant en appel les peines de quatre hommes condamnés pour le viol d’une adolescente dans le sud du Maroc. Alors qu’ils avaient initialement reçu un an de prison ferme en première instance, la cour d’appel d’Agadir a porté la sentence à quatre ans de prison ferme pour chacun des accusés.
L’affaire concerne Fatima-Zahra, qui avait 15 ans au moment des faits en 2021. Elle avait été victime d’un viol collectif près de Tata, dans le sud-est du pays, entraînant une grossesse. Aïcha Guellaa, l’une de ses avocates et présidente de l’Association marocaine des droits des victimes (AMDV), a exprimé son insatisfaction face au verdict, le considérant comme un progrès par rapport aux peines initiales, mais toujours insuffisant.
Ce cas a résonné comme une douloureuse répétition d’un autre incident tragique où, après une mobilisation de la société civile, les peines pour le viol répété d’une fillette de 11 ans ont été significativement alourdies en appel, passant à 20 ans pour l’un des accusés et 10 ans pour les deux autres.
Ces affaires mettent en lumière un problème persistant au Maroc : les violences sexuelles contre les mineurs. Elles soulèvent des questions cruciales sur la justice et la protection des victimes, tout en appelant à des sanctions plus sévères et à une réforme judiciaire pour lutter contre ce fléau.
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L’une des graves tarre du Maroc, est sa justice. La dissuasion devrait etre6la regle pour circonscrire et les récidives de même que la corruption.
Il s’agit d’un sujet législatif.
Mais où sont nos législateur, vivent ils avec nous?
Quel jugement atroce! Non seulement la vie d’une fillette a été complètement détruite mais également une nouvelle naissance qui souffrira à cause d’un acte commis par des monstres qui, à mon avis, ne méritent plus d’être sur terre.
Quelle justice! quel malheureux Maroc!
Je proclame la perpétuité pour ces monstres si ce n’est pas la peine capitale!