Le Maroc, comme de nombreux autres pays, fait face à une inflation croissante, exacerbée par la hausse des prix du carburant. Cette situation a mis à rude épreuve la capacité des citoyens marocains à subvenir à leurs besoins essentiels. L’augmentation du coût de la vie, alimentée en grande partie par les prix élevés du carburant, a créé un sentiment de frustration parmi la population, mettant en lumière la vulnérabilité des ménages face aux fluctuations économiques mondiales.
Dans ce contexte difficile, une lueur d’espoir se profile pour les automobilistes marocains. Selon des rapports récents, les prix des carburants devraient connaître une légère baisse dans les prochains jours, une tendance qui devrait se poursuivre jusqu’en décembre. Cette baisse attendue de 20 à 30 centimes à la pompe à partir du 16 novembre est une nouvelle bienvenue pour beaucoup. Mostafa Labrak, directeur général d’Engerysium Consulting, souligne cependant que cette baisse des prix n’est pas immédiate, car le Maroc importe des produits raffinés et non bruts, ce qui retarde la répercussion de la baisse des prix du baril sur le marché local.
Cette baisse des prix est influencée par plusieurs facteurs internationaux, notamment la morosité de l’économie mondiale. La diminution de la demande en provenance des États-Unis et de la Chine, ainsi que les mesures prises par Washington contre les exportations de pétrole russe, ont contribué à la chute des prix du pétrole sur les marchés mondiaux.
Selon l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), les prévisions de croissance mondiale pour 2023 ont été légèrement revues à la hausse, à 2,46 millions de barils par jour. Ces chiffres reflètent une augmentation par rapport aux prévisions du mois précédent, indiquant ainsi une certaine stabilisation du marché pétrolier, bien que la prévision pour 2024 reste relativement élevée.
Ce léger soulagement pour les automobilistes marocains apporte une pause bienvenue dans une période économique difficile. Cependant, cette situation met en évidence la nécessité pour le Maroc, comme pour d’autres pays, de développer une plus grande résilience face aux fluctuations des marchés mondiaux.
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BOHAK RABEA
1 année il y a
BAISSE INFINIMENT NEGLGEABLE INUTILE D’EN PARLER
AU MAROC , MEME SI LE PRIX DU PETROLE DESCEND A 40 € LE BARIL LES PRIX DU GAZOIL OU DE L’ESSENCE RESTERONT TOUJOURS AUX ALENTOURS DE 12 ET 13. DIRHAMS LE LITRE
BOHAK RABEA
1 année il y a
BAISSE INFINIMENT NEGLGEABLE INUTILE D’EN PARLER
AU MAROC , MEME SI LE PRIX DU PETROLE DESCEND A 40 € LE BARIL LES PRIX DU GAZOIL OU DE L’ESSENCE RESTERONT TOUJOURS AUX ALENTOURS DE 12 ET 13. DIRHAMS LE LITRE
BAISSE INFINIMENT NEGLGEABLE INUTILE D’EN PARLER
AU MAROC , MEME SI LE PRIX DU PETROLE DESCEND A 40 € LE BARIL LES PRIX DU GAZOIL OU DE L’ESSENCE RESTERONT TOUJOURS AUX ALENTOURS DE 12 ET 13. DIRHAMS LE LITRE
BAISSE INFINIMENT NEGLGEABLE INUTILE D’EN PARLER
AU MAROC , MEME SI LE PRIX DU PETROLE DESCEND A 40 € LE BARIL LES PRIX DU GAZOIL OU DE L’ESSENCE RESTERONT TOUJOURS AUX ALENTOURS DE 12 ET 13. DIRHAMS LE LITRE