C’en est fini des manœuvres diplomatiques triomphalistes de l’Algérie et de son pion séparatiste polisarien, ainsi que des acquis achetés en Afrique de l’Est, qui s’écroulent un à un comme un château de cartes. Le Maroc mérite décidément un coup de chapeau pour sa victoire diplomatique, qui a permis de s’assurer le soutien du Kenya à la cause de la marocanité du Sahara et à la mise en œuvre du plan d’autonomie dans celui-ci, dont le début devrait s’opérer dès les premiers mois de 2026.
Ce pays, autrefois bastion sur le continent des positions algéro-séparatistes, est revenu à la raison après des dizaines d’années d’aveuglement et d’injustice envers le Royaume, pour demander au Polisario, persona non grata, de quitter son territoire.
Le coup est d’autant plus remarquable que ce pays a décidé de l’ouverture de son ambassade à Rabat et, probablement, d’un consulat au Sahara. Et pour couronner le tout, il se fait un défenseur de la position marocaine dans la partie Est de l’Afrique, auprès des autres pays s’étant ralliés à la propagande d’Alger après avoir été achetés.
Préparé en toute discrétion et de manière inattendue, ce coup diplomatique a eu l’effet d’une bombe sur la scène africaine, promettant à l’Algérie la fin de son arrogance, avec un paramètre qui chamboule tout son stratagème pour garder en vie le projet séparatiste mort-né, à la veille d’échéances et de développements importants attendus au niveau international et à Addis-Abeba, siège de l’UA.
Le même jour, et pour enfoncer le clou encore plus, le Salvador annonçait l’ouverture prochaine de son consulat à Laâyoune, ouvrant ainsi la voie à ceux d’autres pays de sa région, pour enrichir la liste des nombreux appuis reçus par le Maroc ces derniers jours, qui se confirmeront par d’autres, en préparation dans le reste des capitales.
Déboussolée et déstabilisée par ces revers répétés, il ne reste plus à Alger que le silence comme arme diplomatique, et à envisager une autre cause pour se maintenir sur un échiquier international où toutes les portes se ferment devant son aventurisme.
Par Jalil Nouri
C’est un faux problème inventé par Kaddafi le fou et boukharrouba pour embêter le Royaume du Maroc
Mais la donne a changé et L’Algérie des caporaux n’a plus les moyens financiers des années 70 et 80
Dommage pour le peuple algérien ses ressort sont dilapidées