La visite récemment effectuée par le roi Mohammed VI aux Émirats Arabes Unis a suscité une réaction particulièrement virulente de la part de l’Algérie, illustrant parfaitement le proverbe « l’ami de mon ennemi est mon ennemi ». Cette tournée, accueillie avec faste par le président émirati Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, a provoqué une onde de choc à Alger, où le régime et les médias locaux ont déployé une hostilité sans précédent.
La couverture médiatique algérienne, orchestrée par la junte au pouvoir, a été unanimité dans sa dénigration de cette visite. Les médias, dans une démarche qui semble télécommandée, ont attaqué avec acharnement les accords bilatéraux signés à Abou Dhabi, couvrant divers domaines socio-économiques et financiers. Ces accords, notamment le projet du gazoduc Maroc-Nigeria et les investissements au Sahara atlantique, ont été dépeints comme une menace directe à l’Algérie.
L’opposition de l’Algérie à ces accords est révélatrice d’un sentiment de jalousie noire et d’une crainte de se voir éclipsée par les succès diplomatiques et économiques du Maroc. Des médias comme Awrass et Algérie Patriotique ont même interprété ces développements comme une conspiration contre l’Algérie, évoquant un « complot émirati » et une « complicité » avec Rabat.
Cette réaction algérienne démontre une préoccupation grandissante quant à l’influence croissante du Maroc dans la région, et en particulier concernant le soutien apporté par les Émirats Arabes Unis aux initiatives marocaines. L’Algérie, en critiquant ces accords, semble chercher à minimiser l’impact et le succès des relations maroco-émiraties, reflétant ainsi une approche géopolitique où l’amitié et l’hostilité sont interdépendantes.
La situation actuelle met en lumière une dichotomie frappante entre le Maroc et l’Algérie. D’un côté, le Maroc, qui avance avec certitude et sagesse, se forge un chemin ambitieux vers le haut dans tous les domaines. Son adoption du train à grande vitesse symbolise un progrès tangible, représentant une volonté d’embrasser le futur avec optimisme et dynamisme. L’efficacité et la sophistication de sa diplomatie, illustrées par la récente visite réussie aux Émirats Arabes Unis, renforcent sa stature sur la scène internationale.
De l’autre côté, l’Algérie semble s’embourber dans ses problèmes internes, un pays handicapé par des querelles de pouvoir incessantes. La fréquence à laquelle les généraux sont envoyés en prison témoigne d’une instabilité politique profonde, sapant la confiance en son leadership. En parallèle, sa diplomatie apparaît déphasée, loin d’atteindre le niveau d’efficacité et d’ingéniosité de celle du Maroc.
Alors que le Maroc prend de l’élan pour sauter dans le train du progrès et de la modernité, l’Algérie reste embourbée dans un passé révolu, marqué par des rivalités internes et une diplomatie réactive plutôt que proactive. Ce contraste marque une période décisive pour la région, où la trajectoire de ces deux nations voisines diverge de manière de plus en plus évidente. Le Maroc, fort de son avance et de sa vision claire, semble destiné à s’éloigner dans son propre sillage de progrès, laissant l’Algérie à contempler un avenir incertain, entravée par ses propres dilemmes.
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Kabra abdellah
1 année il y a
Excellente approche et à bas les ennemis de mon pays bien aimé
Abderrahim
1 année il y a
Les caporaux ne ciblent que le peuple Algérien avec un certain succès, il faut le dire.
Car le tapage immédiat que à sens unique le pauvre peuple Algérien épouse, hélas, de plus en plus la doctrine belliqueuse et psychopathe de ces vieux caporaux mafieu.
Un jour, ils finiront par capituler, mais ce jour semble encore lointain. Prions que je me trompe.
Excellente approche et à bas les ennemis de mon pays bien aimé
Les caporaux ne ciblent que le peuple Algérien avec un certain succès, il faut le dire.
Car le tapage immédiat que à sens unique le pauvre peuple Algérien épouse, hélas, de plus en plus la doctrine belliqueuse et psychopathe de ces vieux caporaux mafieu.
Un jour, ils finiront par capituler, mais ce jour semble encore lointain. Prions que je me trompe.