Hier, la Confédération Africaine de Football (CAF) célébrait la réussite exceptionnelle de Walid Regragui en lui décernant le prestigieux titre du Meilleur Entraîneur Africain. La CAF avait alors loué ses compétences, son intégrité et son comportement exemplaire, saluant sa contribution remarquable aux succès de l’équipe nationale marocaine et au football Africain en général. Cependant, aujourd’hui, une ombre plane sur cette gloire fraîchement acquise. La CAF a émis des sanctions disciplinaires à l’encontre de Walid Regragui, le suspendant pour son prétendu comportement inadmissible lors du récent match contre la République démocratique du Congo. Cette transition rapide de l’apogée à la controverse soulève des questions sur la cohérence des évaluations de la CAF et suscite des réactions mitigées dans le monde du football africain. Cette transition abrupte de l’éloge à la condamnation souligne les fluctuations rapides du destin de Walid Regragui. Aujourd’hui, la CAF a sanctionné l’entraîneur pour des comportements jugés inacceptables lors du match contre la RD Congo, jetant ainsi une ombre sur sa récente reconnaissance.
L’Organisation Marocaine des Droits de l’Homme et de Lutte contre la Corruption a exprimé son regret face à la décision prise par la Commission disciplinaire de la Confédération africaine de football (CAF) à l’encontre du coach de l’équipe nationale marocaine, Walid Regragui. Cette décision fait suite aux événements survenus à la fin du match entre le Maroc et la République démocratique du Congo.
L’organisation a condamné cette décision, la qualifiant d' »inacceptable, injuste et dénuée de fondement ». Elle a appelé la Commission disciplinaire à revenir sur cette décision, affirmant son soutien inconditionnel au coach Walid Regragui, qui n’a commis aucun acte contraire à l’éthique sportive.
La Commission disciplinaire de la CAF avait officiellement annoncé ses sanctions à l’encontre du sélectionneur national Walid Regragui, ainsi qu’une amende infligée à la Fédération royale marocaine de football, suite aux incidents survenus lors du match entre le Maroc et la République démocratique du Congo.
La commission a décidé de suspendre Walid Regragui pour quatre matches, dont deux sont effectifs, et un an de suspension avec sursis, assorti d’une amende de 5 000 dollars (équivalent à 50 000 dirhams marocains).
L’Organisation Marocaine des Droits de l’Homme et de Lutte contre la Corruption a réagi en dénonçant cette décision et en exprimant sa solidarité sans réserve avec le coach Walid Regragui. Elle estime que ce dernier n’a posé aucun geste portant atteinte à l’esprit sportif.
La Fédération royale marocaine de football a décidé de faire appel de la décision prise par la Commission disciplinaire de la CAF à l’encontre du coach de l’équipe nationale, Walid Regragui. Dans un communiqué, la Fédération a qualifié cette décision d’injuste et dénuée de fondement, soulignant que les faits ont montré que Walid Regragui n’a posé aucun geste contraire à l’éthique sportive.