Mardi soir, la ville de Khouribga a été témoin d’un événement troublant. Les dépouilles de trois individus ont été découvertes en différents endroits de la voie publique. Si la scène aurait pu suggérer un acte de violence, des sources médicales réfutent cette hypothèse : aucune trace de coups ou signe apparent de violence n’a été détectée sur les corps des victimes.
Alors que le procureur général près la Cour d’appel attend avec impatience le rapport détaillé du médecin légiste suite à l’autopsie, des conjectures émergent. D’après les mêmes sources médicales, il semblerait que ces morts tragiques aient été causées par l’ingestion d’une substance potentiellement dangereuse, voire mortelle. Les premières hypothèses suggèrent une drogue chimique qui aurait gravement affecté les artères cardiaques, conduisant à un arrêt cardiaque soudain.
Cette troublante affaire pose de nombreuses questions sur la sécurité et le bien-être de la communauté. Un scénario similaire s’était déroulé il y a sept ans: les corps de plusieurs individus morts avaient été retrouvés après qu’ils aient sniffé du diluant de peinture. La police avait alors arrêté le propriétaire de la boutique qui leur avait vendu ce produit. Après enquête, il avait été présenté devant le juge de la Chambre criminelle de la cour d’appel de Khouribga.