La 69ᵉ cérémonie du Ballon d’or a consacré, ce lundi, Ousmane Dembélé. L’ailier français décroche pour la première fois la plus prestigieuse distinction individuelle du football, attribuée chaque année par France Football. Il devance un quatuor relevé de prétendants : Achraf Hakimi, Raphinha, Lamine Yamal et Mohamed Salah.
C’est le couronnement d’une saison pleine pour Dembélé, pièce majeure du Paris-Saint-Germain, vainqueur de plusieurs titres dont la Ligue des champions. Mais au Maroc, la nouvelle a suscité une déception palpable : nombreux sont les supporters à estimer qu’Achraf Hakimi, autre artisan majeur du PSG et leader des Lions de l’Atlas, tenait une candidature plus que solide—et méritait pleinement le Ballon d’or.
Pourquoi Hakimi pouvait (et devait) y prétendre
Latéral droit de référence mondiale, Hakimi a brillé par sa régularité, son influence des deux côtés du terrain et sa capacité à peser dans les grands rendez-vous. Déclencheur de transitions, précis sur coups de pied arrêtés, décisif dans le money-time, il a été un stabilisateur de l’arrière-garde parisienne tout en apportant des solutions offensives constantes. Son rôle de cadre avec la sélection marocaine, sa constance au plus haut niveau et ses performances face aux adversaires européens de premier plan ont nourri la conviction, chez de nombreux observateurs et supporters, qu’un défenseur—et un latéral—pouvait légitimement rafler la mise.
Un débat qui dépasse le seul palmarès
Le choix final relance une discussion récurrente : la difficulté, pour les défenseurs, de convertir leur poids stratégique en suffrages individuels. Malgré l’aura de Dembélé et la réussite collective du PSG, l’écartement de Hakimi a été ressenti comme une forme d’injustice sportive de l’autre côté de la Méditerranée, tant le Marocain a coché, semaine après semaine, les cases de l’excellence : régularité, influence, leadership et impact dans les matches à enjeu.
Une distinction au long cours
Instituée en 1956 (Stanley Matthews), ouverte à tous les joueurs évoluant en Europe en 1995 (George Weah, premier lauréat non-européen), devenue mondiale depuis 2007, la récompense a connu une parenthèse commune avec le trophée FIFA (2010-2015) avant un retour au format initial. En 2020, l’édition avait été annulée en raison de la pandémie, et la dernière distinction avant 2025 avait couronné l’Espagnol Rodri.
Le verdict est tombé : Dembélé entre dans l’histoire. Mais l’onde de choc au Maroc rappelle qu’une autre histoire aurait pu s’écrire, avec un latéral droit au sommet du monde.
Par Mounir Ghazali
j’ai un sentiment d’amertume mais je suis sur que ACHRAF restera toujours achrafe que tous les uatres cette année de 2025 il n’a pas eu le ballon à cause de beucoup d’intrevenant en premier peut etre un pays du moyen orient qui avance sur les terres des autres pour manger tout le monde footbalistique par ses moyens financiers ça sent sent beaucoup une intrusion extérieure au mode de sport déjà par la déclaration du président du PSG Qatarui montre bien les règles du jeu nouvelle passe
Notre champion est entré dans toutes les mémoires du monde footbalistiques : il a une force magique qui rayonne, il nous fait vibrer tous et nous donne une grade paix et respect par son comportement exemplaire et sportif
Son aura a aimanté le monde footbalistique mérité par sa foie et ses sueurs donnés dasn chaquematch en parcourant les terraisn et à chaque de Bout en Bout boulversant à chaque les 2 éququipes , les publiques masi aussi les téléspectauers
ACHRAF sera toujours une ETOILE marquée à jamais dans l’esprit humain et dans le monde footbalistique
un Grand Merci pour ce que tu es et ce que tu nous a donné de toi