La Cour d’appel de Casablanca a décidé de reporter le procès du plasticien Hassan Tazi au 8 mars 2024, afin de permettre la poursuite des plaidoiries de la défense. Cette décision a été prise lors de la dernière audience, où les avocats de Docteur Tazi ont vigoureusement souligné l’innocence de leur client face aux accusations qui pèsent sur lui.
Le chirurgien est soupçonné d’avoir exploité sa renommée et l’image de certains de ses patients, notamment ceux présentés comme démunis, sur les réseaux sociaux. Il aurait ainsi sollicité d’importantes sommes d’argent sous prétexte de « dons » pour couvrir les frais d’opérations médicales. Cependant, l’équipe juridique du Dr Tazi a tenu à clarifier que ces accusations ne correspondent pas à la réalité des faits.
Les charges qui pèsent contre Hassan Tazi sont extrêmement graves, avec des peines potentielles pouvant atteindre jusqu’à 30 ans de prison. Outre lui et son épouse, d’autres membres de sa famille, y compris son frère, ainsi que trois autres individus sont également impliqués dans cette affaire complexe. Ils font face à une série d’accusations allant de la traite d’êtres humains à l’exploitation de mineurs souffrant de maladies chroniques, en passant par la falsification de documents médicaux et la création d’une organisation criminelle.
Ce report du procès souligne l’importance de garantir un procès équitable pour toutes les parties impliquées. La justice doit être rendue de manière rigoureuse et impartiale, en prenant en compte tous les éléments de l’affaire. L’attente jusqu’à la prochaine audience promet d’être pleine de tension, alors que l’issue de cette affaire pourrait avoir des répercussions significatives sur la communauté médicale et sur la confiance du public envers les professionnels de santé.
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prive
8 mois il y a
30 ans pour avoir fait ce que tous les chiurgiens du monde faisait. au maroc, la diffamation a trop de poids et donne aux autorités le pouvoir d’emprisonner ceux qui s’opposent à elles dans d’autres circonstances
30 ans pour avoir fait ce que tous les chiurgiens du monde faisait. au maroc, la diffamation a trop de poids et donne aux autorités le pouvoir d’emprisonner ceux qui s’opposent à elles dans d’autres circonstances