À l’approche des élections législatives partielles dans la circonscription de Rabat océan, surnommée « circonscription de la mort », le Rassemblement National des Indépendants (RNI) est en pleine effervescence. Trois candidats sont en lice pour représenter le parti : Saad Benm’barek, mari de l’ex-maire de Rabat ; Adil El Attrassi, président de l’arrondissement Souissi à Rabat et Amine Sadak, un homme d’affaires dynamique et vice président de la maire de Rabat. Cependant, le patron du RNI n’a pas encore tranché, laissant planer le suspense sur celui qui portera les couleurs du parti.
Les élections du 12 septembre 2024, qui suscitent un vif intérêt, sont cruciales pour les partis en compétition. Le PJD a opté pour un candidat peu connu, tandis que la Fédération de la gauche a misé sur un jeune profil prometteur. Le RNI, quant à lui, reste divisé, l’indécision de sa direction révélant l’importance stratégique de cette élection pour l’avenir politique de Rabat. En attendant la décision finale, les spéculations vont bon train sur le candidat qui sera choisi et son impact potentiel sur la scène politique locale.
La situation au sein du Rassemblement National des Indépendants (RNI) appelle à une décision stratégique et minutieuse de la part d’Aziz Akhannouch. Le choix du candidat qui représentera le parti lors des élections législatives partielles à Rabat océan est crucial. Un mauvais choix pourrait raviver les tensions et les problèmes passés. Akhannouch doit donc peser chaque option avec soin pour s’assurer que le RNI présente un candidat propre, capable de consolider la position du parti et d’éviter les erreurs du passé, tout en répondant aux attentes des électeurs locaux.