Lors du 38ᵉ sommet de l’Union africaine tenu à Addis-Abeba, en Éthiopie, l’Algérienne Salma Malika Haddadi a été élue, ce samedi 15 février, vice-présidente de la Commission de l’Union africaine. Elle a obtenu 26 voix contre 22 pour sa rivale marocaine, Latifa Akharbach, après un septième tour de vote, lui permettant d’atteindre la majorité requise des deux tiers des suffrages.
Avec cette élection, l’Algérie décroche un poste stratégique au sein de l’instance panafricaine, renforçant ainsi son influence sur les décisions et orientations politiques du continent. Haddadi accompagnera dans ses fonctions Mahmoud Ali Youssouf, le ministre des Affaires étrangères de Djibouti, qui a été élu président de la Commission de l’Union africaine.
Une élection disputée pour la présidence de la Commission
L’élection du président de la Commission a été marquée par une compétition serrée. Mahmoud Ali Youssouf, candidat de Djibouti, a obtenu 33 voix sur 49, devançant ainsi Raila Odinga, ancien Premier ministre kényan soutenu par l’Algérie et l’Afrique du Sud.
Dès le premier tour, le candidat de Madagascar a été éliminé, laissant place à un duel entre Djibouti et le Kenya. Après plusieurs tours de scrutin, Youssouf est parvenu à s’imposer, succédant ainsi au Tchadien Moussa Faki Mahamat pour un mandat de quatre ans.
Ce résultat illustre un rééquilibrage des alliances au sein de l’Union africaine, avec un soutien affiché du Maroc en faveur de la candidature djiboutienne. En effet, Youssouf, qui a occupé pendant près de 20 ans le poste de ministre des Affaires étrangères de Djibouti, a bénéficié d’un appui décisif du Royaume face à Raila Odinga.
L’Algérie et le Maroc : un duel d’influence au sein de l’UA
Le scrutin pour la vice-présidence de la Commission de l’Union africaine a confirmé la rivalité entre Alger et Rabat sur la scène diplomatique africaine. Si le Maroc a soutenu la candidature de Djibouti pour la présidence, l’Algérie a réussi à placer l’une de ses diplomates à la vice-présidence.
Ce duel illustre la lutte d’influence entre les deux pays dans le cadre des institutions panafricaines, où chacun tente d’imposer sa vision et ses intérêts stratégiques. Pour le Maroc, le soutien à Youssouf s’inscrit dans une politique de coopération Sud-Sud renforcée, visant à consolider ses relations avec les pays africains.
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Ils yavait pas des élections de vise président à l’ Union africaine
Ils yavait des corruption des états par l Algérie
Taboune a acheté des voix avec des millions de dollars pour battre le Maroc
Ce pandon la population algérienne crève la dalle honteux incroyable qu’il y a des nations son coronpu
Vive le Maroc et son peuple
Vive sa majesté le roi et peuples jusqu’à la fin du monde
Il faut parler du role vicieux de l’Egypte qui a laché le maroc pour l’Algérie contre du bakchich, sachant que l’algérie s’est mise du coté de l’ethiopie contre l’Egypte dans l’affaire du Barrage de la rennaissance!
Allez comprendre la logique de s relations!!!