Après des mois de sécheresse qui ont pesé lourdement sur le Maroc, les récentes précipitations ont apporté un soulagement bienvenu en arrosant les sols craquelés du royaume. Selon les derniers rapports de la Direction Générale de l’Ingénierie de l’Eau du Ministère de l’Équipement et de l’Eau, la situation des barrages au Maroc montre une amélioration significative, bien que contrastée selon les régions.
La région de Tanger-Tétouan-Al Hoceïma se démarque particulièrement, bénéficiant largement des pluies récentes. Trois barrages emblématiques de cette région ont atteint un taux de remplissage complet de 100%, symbolisant ainsi une gestion efficace de l’eau. Le barrage Charif Al Idrissi à Tétouan, le barrage Nakhl dans la même province, ainsi que le barrage Chefchaouen, tous ont atteint leur capacité maximale, démontrant les efforts entrepris pour une utilisation judicieuse des ressources hydriques.
Dans la province de Larache, le barrage Oued El Makhazine, bien que présentant un taux de remplissage impressionnant de 75,23%, montre une légère baisse par rapport à l’année précédente. Cependant, il reste un exemple de réussite en matière de gestion des ressources en eau. En revanche, le barrage Dar Khrofa à Larache enregistre un taux de remplissage de 20%, indiquant des défis persistants malgré les récentes précipitations.
Dans la préfecture de Tanger-Assilah, les chiffres sont mitigés. Bien que le barrage 9 Avril 1947 présente un taux de remplissage en baisse par rapport à l’année précédente, d’autres barrages comme Ibn Battouta montrent une performance stable malgré les fluctuations annuelles.
La province de Fahs-Anjra voit également des chiffres en baisse par rapport à l’année dernière, tandis que le barrage Smir dans la préfecture de M’diq-Fnideq montre une capacité presque pleine malgré un léger retrait par rapport à l’année précédente.
Ces données soulignent l’importance de la conservation des ressources en eau au Maroc, un pays où l’eau est une ressource précieuse. Alors que les barrages du royaume affichent un taux de remplissage global d’environ 27,7%, il est crucial de continuer à gérer judicieusement cette ressource vitale pour assurer la sécurité hydrique du pays dans les années à venir.
En conclusion, les récentes précipitations bienvenues ont apporté un soulagement aux barrages du Maroc, mettant ainsi fin à une période de sécheresse prolongée qui a lourdement pesé sur le pays. Cependant, il est important de ne pas relâcher nos efforts pour une gestion prudente de cette ressource vitale. Les leçons tirées de cette période difficile doivent continuer à guider nos actions, notamment en ce qui concerne la conservation de l’eau. Les fermetures temporaires des bains maures et les restrictions sur les activités dépensières d’eau, telles que le lavage des voitures, ont été des mesures nécessaires pour faire face à la crise de l’eau. Il est essentiel de rester conscients de notre utilisation de l’eau et de continuer à adopter des pratiques durables pour préserver cette ressource précieuse pour les générations futures.
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économisons l’eau …c’est une ressource encore plus précieuse que l’or. Oui à une politique de préservation de l’eau
Je crois qu il est urgent de reouvrir les hammams car cela a renvoyé beaucoup de personnes en chomage il est temps de les réintegrer à leur poste
plus de 90% des ressources d’eau sont utilisé en agriculture, le restant est partagé avec tout les autres secteurs unis, donc laissez les hammans tranquille et gérez mieux l’agriculture, le gouvernement passe par un clown avec ces mesures de 2 balles
je ne comprends pas pourquoi fermer les hammams ou plus de 60% de la population peut se laver et ne pas parler des gens qui remplissent une baignoire a eux seuls pour se laver ESSAYER DE TROUVER D’autres solutions telles que la recuperation des eaux de pluie qui retournent vers la mer,recuperer aussi les eaux industrielles qui se comptent par milliers de m3 jour…etc
Et comment laisser les femmes de ménages et autres jardiniers ,arroser pendant des heures les trottoirs des villas,escaliers,les voitures lavées 2 Fois par jour…..humm
Il faut passer à la vitesse supérieure pour construire au moins 4 grandes stations de dessalement de l’eau de mer et ne plus compter sur la pluviométrie capricieuse.
Salamou alaykoum wa rahamtouLlahi wa barakatou juste un conseil si vous permettez je suis à 100% d’accord avec pour le développement et surtout de nouvelles stations de dessalement etc … Néanmoins faut faire attention quand-même au mots utilisés en fin de texte. Je cite »De ne plus compter sur la pluviométrie capricieuse. » Al hamdouliLah en tant que musulman nous savons que c’est Allah qui décide du temps météorologiques. Allah donne à qui IL le veux et il retire à qu’IL le veux sans compter. Ne jamais dire du mal sur le temps car le temps c’est Allah. Désolé mon frère pour cette intervention c’est juste un conseil fi Llah. Et pour finir si on suivi tous la Sounnah de notre prophète que la paix et bénédictions sur lui concernant la gestion de l’eau. Ça serait beaucoup mieux. Allahou a’lam
ALHAMDOULILLAH…YA RAHMANE a accepté nos prières… Qu’ALLAH remplisse toutes les barrages et bénir les champs…
C’est ridicule de donner l’exemple le lavage de voitures comme activité dépensière d’eau. Vous avez peut être omis les milliers d’hectares de domaines spécialisés dans des plantations très consommatrices en eau je cite l’avocat, la clémentine, la pastèque 🍉.
Dites Hamdoulillah…..
وجود تكوار حاااد للكلمات
Oued akchor déverse beaucoup d’eau vers la mer. Il est temps de construire un barrage.
Du pain sur la planche.la sécheresse doit faire l objet d études minutieuse pour tous les gouvernement. Un enseignement à graver sur les murs des ministères, parlement,communes,et régions.1-construire plus de barrages 2-Taxer fortement l agriculture d export,les fermes et villas ,piscines,jacuzzi, hôtels…..
Laisser les pauvres savourer le don du ciel :eau et oxygène.