Le « soft power » marocain, cette nouvelle arme de séduction massive, poursuit sur sa lancée à travers le monde avec la plateforme offerte par l’organisation de la CAN 2025.
Un fruit inestimable vient de tomber de cette stratégie redoutable pour l’avenir et le développement du Royaume, avec des images en provenance de New York, aux USA, montrant le plus influent des maires de ce pays se diriger vers un restaurant marocain de sa ville et s’y attabler, échangeant et regardant sur un écran le match d’ouverture.
Évoquant le Maroc, le maire le plus populaire du monde et le plus présent sur la toile a vu ses propos faire le tour du globe, ce qu’aucune action de l’ONMT n’aurait pu réaliser, même avec des moyens financiers qu’elle ne pourra de toute manière jamais réunir. Celui qui est appelé à un grand avenir politique aux États-Unis, puisqu’il est devenu le porte-étendard du Parti démocrate, ne croyait pas si bien faire en se rendant dans ce restaurant pour y manger marocain, en toute simplicité, dans un cadre agréable, au milieu de supporters des Lions qui n’en croyaient pas leurs yeux. Zohran Mamdani a su vanter le Maroc comme personne de son rang n’aurait pu le faire, comme s’il connaissait le Royaume comme sa poche.
Cette performance historique en communication, le Maroc peut la savourer avec légitimité, d’autant plus que la presse mondiale, sportive comme généraliste, s’est emparée du sujet « Maroc » pour le traiter sous tous les angles et donner à ses lecteurs l’envie de venir assister à cette CAN, édition 2025, en les faisant saliver autant sur les matchs que sur le reste.
Ce reste, qui concerne toutes les belles facettes du Maroc, est sur tous les écrans et tous les réseaux sociaux, avec une profusion d’images et de commentaires positifs.
Cette déferlante marocaine est appelée à durer jusqu’au 18 janvier, et bien au-delà, comme si cette année était marocaine à tous les égards, sportifs et touristiques, avec ce record historique de 20 millions de visiteurs. Les rêves étaient permis, ils se sont réalisés et se réaliseront encore.
Par Jalil Nouri










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