Les désaveux de la cause séparatiste sahraouie se multiplient, et le camp de ses soutiens est en train de fondre comme neige au soleil.
L’un des principaux et plus anciens alliés de la pseudo-RASD, République Arabe Sahraouie Démocratique, le Ghana, qui avait reconnu cette entité fantoche dès 1979, est revenu à la réalité et a informé le ministère marocain des Affaires étrangères et de la Coopération africaine de sa décision de couper tout contact avec elle. De même, il a fait part à l’organisation de l’Union africaine de cette même décision.
Une décision, faut-il le rappeler, qui intervient dans un vaste mouvement de désistement similaire à travers le monde, notamment en Afrique.
Sûr de son droit à la souveraineté sur le Sahara, appuyé par la communauté internationale et des puissances comme les États-Unis ou la France, le Maroc récolte ainsi les fruits de sa diplomatie patiente et clairvoyante, tracée par le roi Mohammed VI, et ne s’arrêtera pas là.
Devant une Algérie décrédibilisée sur le plan international, qui a créé et maintenu en respiration artificielle le mouvement séparatiste depuis 1976, et qui se trouve aujourd’hui au creux de la vague, le Maroc a mené une offensive diplomatique payante pour faire valoir ses droits.
Rares sont encore les pays qui tardent à reconnaître l’intégrité territoriale du Maroc et à apprécier à sa juste valeur son plan d’autonomie pour un règlement définitif de cette question. Cependant, le nombre de ces pays réfractaires diminue mois après mois.
En revanche, celui des nations ayant pris leurs distances avec les séparatistes du Polisario s’enrichit considérablement de nouveaux éloignements de cette cause, après avoir été bernées par l’Algérie sur le bien-fondé de cette cause contraire à la vérité historique, basée sur des faits et des documents irréfutables, qui ont permis au royaume d’asseoir sa stratégie de défense de ses intérêts aux quatre coins du globe.
Par Jalil Nouri
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