Elle signe, elle inaugure, elle tend, elle embrasse, elle rassure.
Depuis le 23 juillet 1999, jour où Mohammed VI fut intronisé, la main du Roi n’a cessé de dessiner un Maroc nouveau, en repoussant les frontières du possible et en plaçant l’humain au cœur de sa gouvernance.
D’un geste, il a posé la première pierre du plus grand port d’Afrique, Tanger Med, aujourd’hui hub mondial du commerce maritime. D’un autre, il a lancé le premier TGV du continent, reliant Tanger à Casablanca en des temps record, symbole de vitesse mais surtout de vision. Chaque ruban coupé, chaque levée de drapeau sur un chantier colossal est le prolongement d’une volonté royale de hisser le Maroc vers le sommet.
Mais la main du Roi ne s’est pas contentée de bâtir ; elle a aussi guéri, soigné, réconcilié.
Une main bâtisseuse
On ne peut évoquer le Maroc moderne sans revenir sur les grands projets structurants impulsés par le souverain.
Outre Tanger Med et la LGV Al Boraq, le pays a vu éclore sous son impulsion des villes nouvelles, des infrastructures autoroutières de classe mondiale, des réseaux de tramways à Rabat et Casablanca, des centrales solaires géantes comme Noor à Ouarzazate, un tissu industriel performant dans l’automobile et l’aéronautique, des zones industrielles intégrées, et plus récemment, l’entrée remarquée du Royaume dans la co-organisation de la Coupe du Monde 2030.
Chaque projet porte l’empreinte d’un monarque qui a compris que le développement se mesure autant en béton qu’en inclusion. Les programmes de logement social, le rattrapage des zones rurales, les investissements massifs dans la santé et l’éducation, les campagnes de vaccination, les hôpitaux universitaires, tout cela est né d’une même volonté royale : que le progrès ne laisse personne derrière.
Une main qui soutient et élève le sport marocain
La main du Roi s’est aussi tendue vers le terrain, vers la jeunesse, vers les rêves de gloire collective, qu’incarne le sport, et tout particulièrement le football, cette passion nationale partagée entre les villages les plus reculés et les grandes métropoles.
Derrière les performances éclatantes du Maroc sur la scène internationale, des Lions de l’Atlas au dernier carré du Mondial 2022, des Lionnes aux portes de la finale de la CAN féminine, se cache un engagement royal profond, constant, discret mais décisif.
Car là encore, Mohammed VI ne s’est pas contenté d’applaudir depuis les tribunes. Il a bâti. Il a investi. Il a orienté. Il a rêvé grand pour sa jeunesse.
Le Complexe Mohammed VI de football à Maâmora, inauguré en 2020, est aujourd’hui l’un des centres d’entraînement les plus modernes au monde, salué par la FIFA et les plus grandes fédérations. Ce bijou technologique et architectural incarne la vision royale d’un sport comme levier d’excellence, de diplomatie, mais aussi d’inclusion sociale.
Au-delà de l’élite, la stratégie sportive du Royaume impulsée par le Souverain s’est traduite par la réhabilitation de dizaines de stades, la construction d’installations sportives dans les régions enclavées, la formation de cadres techniques, et le soutien au sport féminin, encore trop souvent marginalisé ailleurs.
C’est aussi sous l’impulsion du Roi que le Maroc est devenu un modèle en matière d’organisation d’événements sportifs continentaux, avec des CAN U17, U23, féminines, des compétitions de judo, d’athlétisme, de tennis, et bientôt la Coupe du Monde 2030, que le Royaume co-organisera avec l’Espagne et le Portugal — premier pays africain à prendre part à une telle organisation mondiale.
Haut les mains, le sport marocain a levé les bras vers la victoire – mais derrière ce geste triomphant, il y a d’abord la main du Roi.
Celle qui a encouragé dans le silence, doté avec discernement, structuré avec méthode, et visionné avec ambition. Une main qui, loin des projecteurs, a rendu leur fierté aux Marocains à travers le football, transformant le ballon rond en instrument d’unité nationale, de rayonnement diplomatique et d’espoir collectif.
Une main solidaire
On se souvient de Mohammed VI donnant son propre sang lors de plusieurs campagnes nationales, sans discours ni faste, mais avec la solennité des gestes simples. Une image gravée dans la mémoire collective, symbole d’un roi proche de son peuple, conscient que l’exemplarité est la première forme de gouvernance.
Durant la crise du COVID-19, c’est encore la main du Roi qui s’est tendue la première pour recevoir le vaccin, envoyant un signal fort à la Nation : la confiance doit être incarnée.
Sous sa conduite, le Maroc a été le premier pays africain à lancer une campagne nationale massive, anticipant l’accès aux doses, mobilisant les structures logistiques et assurant la gratuité du vaccin pour tous.
Une main réformatrice
Le Roi a également façonné les contours d’un Maroc plus juste, plus libre. En 2004, il réforme la Moudawana, revalorisant les droits des femmes dans une société attachée à ses traditions. En 2011, il initie une réforme constitutionnelle en réponse au Printemps arabe, faisant du Maroc l’un des rares exemples de réforme institutionnelle apaisée.
Son règne aura été celui de la reconnaissance officielle de l’identité amazighe, de la promotion de la diversité culturelle, et d’une gestion religieuse modérée, tolérante et exemplaire, qui fait du Royaume un rempart contre l’extrémisme.
Une main tendue
Mais la main du Roi, c’est aussi celle tendue avec insistance vers l’Algérie sœur, et ce, à plusieurs reprises, malgré les silences et les rancunes figées. Par ses discours empreints d’humanité et de lucidité, Mohammed VI a rappelé, inlassablement, que les peuples ne peuvent être otages de différends politiques. Il a appelé au dialogue, à la réouverture des frontières, au dépassement des blessures historiques. Et si la main tendue n’a pas toujours été saisie, elle n’a jamais été retirée.
Une main diplomatique
Sur la scène internationale, la diplomatie royale a imposé un Maroc souverain, écouté, respecté.
Le retour triomphal à l’Union africaine, les partenariats stratégiques avec la Chine, la Russie, les États-Unis et l’Europe, la reconnaissance croissante de la marocanité du Sahara, sont les fruits d’une diplomatie royale discrète mais redoutablement efficace.
Une main qui protège et veille
Lors du séisme d’Al Haouz en 2023, c’est la main du Roi qui a mobilisé l’armée, supervisé l’assistance, ordonné la reconstruction immédiate des zones sinistrées, et contribué personnellement au fonds de solidarité. Ce rôle protecteur, père de la Nation au sens plein, s’est aussi exprimé dans le soutien aux couches vulnérables, avec l’extension de la couverture sociale, le registre national unifié, et les programmes de transferts directs aux familles les plus fragiles.
La main et l’empreinte
La main du Roi n’est pas celle du pouvoir qui écrase, mais celle qui construit, soigne, guide et tend la paix.
En 25 ans de règne, Mohammed VI a offert au Maroc un récit de transformation, de stabilité et de grandeur maîtrisée, dans un monde où les repères se brouillent.
Son héritage ne se résume pas à des infrastructures ou à des chiffres économiques. Il est le Maroc d’aujourd’hui, et celui de demain.
Et dans l’empreinte de sa main, se lit la trace de tout un Royaume.
Une main respectée, une Nation debout
À ceux qui ironisent ou s’indignent du baise-main que tant de Marocains, spontanément, offrent à leur souverain, il faut peut-être rappeler une vérité simple, silencieuse, mais puissante : ce n’est pas la main d’un homme que l’on salue, mais le symbole vivant d’une Nation qu’il incarne.
Car la main du Roi Mohammed VI, depuis plus de deux décennies, n’a jamais été un poing fermé, mais un geste tendu, une promesse tenue, un acte ancré dans le réel. Elle a porté les chantiers, relevé les défis, essuyé les larmes, soigné les blessures, ouvert des voies nouvelles et serré, avec dignité, celles de ses partenaires et de son peuple.
Ce geste que certains réduisent à une coutume surannée est, pour beaucoup de Marocains, un hommage à une main qui construit sans relâche, protège sans bruit, et guide sans jamais se détourner. C’est l’expression d’un lien historique et affectif, d’une confiance bâtie non sur des slogans, mais sur un quart de siècle d’actes et d’engagements visibles.
Et si cette main suscite encore aujourd’hui l’admiration, c’est peut-être parce qu’elle ne se contente pas de gouverner, elle accompagne, élève et inspire.
Alors oui, haut les mains, pour saluer ce Roi bâtisseur, visionnaire, et profondément humain, qui, par sa main tendue, a porté le Maroc au-delà de ses frontières…
Haut les mains, à nous tous, pour élever une prière sincère, du fond du cœur et de l’âme, pour la santé, la longévité et la protection de celui qui, depuis plus de vingt-cinq ans, tient fermement le destin de la Nation entre ses mains.
Que Dieu garde notre Roi, lui accorde la force de continuer, la sagesse d’éclairer, et la paix intérieure d’un homme au service de son peuple.
Par Abdelrhni BENSAID
😪😪😪😪😪
Que Dieu vous protège, Majesté.
Vous êtes la main qui construit, le cœur qui unit, et la lumière qui guide le Maroc vers l’excellence.
Votre peuple vous porte dans ses prières les plus sincères.
Puisse le Très-Haut vous accorder un prompt rétablissement, longue vie, santé et force pour poursuivre votre œuvre grandiose.
Toutes nos pensées et nos prières accompagnent notre Roi. Que Dieu lui accorde une guérison rapide, une santé durable et la sérénité pour continuer à guider notre Nation avec sagesse, courage et amour du peuple.
Oui.. , du fond du cœur et de l’âme,
santé, longévité et protection à celui qui, depuis plus de vingt-cinq ans, tient paternellement le destin de la Nation entre ses mains.
Puisse Dieu préserver notre Roi, lui accorder , santé ,force ,gloire et assistance pour accomplir tous ses nobles et grands voeux pour son peuple .