Dans une décision historique, le Conseil de Sécurité des Nations Unies, avec un projet de résolution initié par Malte, a appelé à une trêve humanitaire dans la bande de Gaza. Ce projet, soutenu par 12 membres, souligne la nécessité d’éviter de priver les civils de Gaza de services et d’aide essentiels et demande la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages détenus par le Hamas et d’autres factions.
Le Conseil a insisté sur la mise en place urgente et prolongée de trêves humanitaires, ainsi que sur la création de couloirs sécurisés à travers Gaza. Cependant, Israël, répondant à cette résolution, a adopté une posture rigide. La diplomatie israélienne a réitéré sa demande d’application du volet de la résolution concernant la libération des otages, tout en rejetant l’idée d’une trêve sans leur retour.
Cette réaction israélienne souligne un comportement récurrent : agir selon ses propres termes, souvent en dépit des résolutions internationales. Leur réponse au Conseil de Sécurité montre un manque de considération pour l’approche collective et les efforts de paix prônés par l’ONU, mettant en lumière un déséquilibre dans le respect des directives internationales.
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C’est la jungle maquillée, mais dont le maquillage est tombé sous l’effet des bombe qui tombent à Gaza