Plus le temps passe, plus le réseau des pays soutenant la cause séparatiste du Polisario s’effiloche, et ses derniers bastions ne se comptent plus que sur les cinq doigts d’une main en Amérique du Sud. Dernier pays en date — et non des moindres — à quitter cette liste : le Brésil. Connu pour sa politique de défense des droits des peuples à disposer de leur indépendance, ce pays a fini par trouver la vérité et a revu sa position en conséquence, après avoir été berné pendant des années sur les fondements réels du conflit du Sahara, rejoignant ainsi d’autres pays voisins qui se trouvaient dans la même situation.
Après avoir accueilli les responsables du Polisario et soutenu activement leurs revendications, le Brésil a décidé de retirer son appui — et pas par n’importe qui : par son président Luiz Inácio Lula da Silva, un dirigeant socialiste et tiers-mondiste, proche de l’Algérie et fervent défenseur de la décolonisation. C’est dire la déception de ce leader après avoir constaté l’effondrement du dossier séparatiste, vidé de toute crédibilité, à mesure que la majorité des pays membres de l’ONU ont exprimé leur soutien à la souveraineté du Maroc sur son Sahara, avec la proposition marocaine d’un plan d’autonomie pour ces provinces.
Le coup de grâce est venu avec le soutien décisif des États-Unis, de la France, de l’Espagne et de l’Allemagne, aujourd’hui alignés sur cette vision.
Ce revirement est le résultat des échecs diplomatiques répétés du tandem Algérie-Polisario auprès des instances internationales, notamment à cause d’un usage excessif de la confrontation et de la tentative d’imposer le Polisario dans divers forums internationaux.
Cela n’a pas suffi à maintenir ce projet, nourri par Alger pour déstabiliser le Maroc à travers un mouvement séparatiste artificiel, instrumentalisé selon ses intérêts.
La vérité finit toujours par triompher, et le Maroc en reste persuadé.
Par Jalil Nouri
C’est aussi le résultat de décennies d’échanges économiques entre les deux pays et notamment dans le domaine des phosphates.
Effectivement, combien coûte le Polisario à l Algerie? Il est temps pour notre pays d être réaliste et faire un bilan et d ecouter le pays frère le Maroc. 50 années perdues pour rien a soutenir une poignée de mercenaires athées. Vive l union du grand maghreb
CA TE FAIRE FOUTRE !! T’ES PAS ALGÉRIEN. LES ARTICLES DES PARATICHE SONT DES TISSUS DE MENSONGES. LE SAHARA EST ET DEMEURERA OCCIDENTAL JUSQU’À LA FIN DES TEMPS, COMME L’EST GAZA À LA PALESTINE, PAUVRES PLOUCS!!
Oh mon Dieu 😦 encore ces vieillards de sourd-muets qui nous gouvernent et qui ne sont pas encore sortis des fantasmes communiste d’antan! Le comble c’est que la majorité de notre cher peuple leur tend toujours l’oreille et le 👃 nez! Réveillez vous mes concitoyens Algériens réveillez vous sinon vous allez tous me rejoindre ici au Canada 🇨🇦 car vous n’aurez même pas un verre d’eau pour survivre
المانيا لازالت تطمع في الغاز الجزاءري عبر ايطاليا بعد قطع روسيا لانابيبها وبالتالي فهي تريد الإبقاء على المينورسو بالصحراء واطالة امد النزاع رغم انها ليست عضوا داءما بمجلس الامن الدولي
الصحراء في مغربها والمغرب في صحراءه،ولا عزاء للوافدين.
Le grand maghreb a besoin d’une union , le régime militaire algérien ainsi que kadafi
ont créé le polisario et retardé ainsi le développement de toute une région, le maroc a finalement eu gain de cause après 50 ans , dommage pour les peuples de la région et dommage pour la tunisie ayant choisi son camp et non la neutralité et la logique historique
Continue de blablater ,le régime des généraux vous mènerai la vie dure .Pauvre esclave
Je me demande qui est esclave ? Celui qui est debout ou celui qui se prosterne et baise les mains .
Vous faites erreur, sûrement. Le Brésil n’a jamais reconnu la pseudo « république » et n’a jamais soutenu le Polisario! Quelles sont vos sources svp ?
C’est le fruit de la normalisation avec Israël
روحو تعطيو