Le pouvoir algérien est au abois et ne le cache pas sur la question du Sahara marocain proche d’un dénouement diplomatique heureux très prochainement. Explications pour les lecteurs non avertis des derniers développements qu’ils n’auraient pas suivis-jusque-là nous menant à la fin du conflit.
Le plaidoyer des séparatistes du Polisario qui s’est vidé de son contenu par la force de l’argumentaire marocain est devenu totalement inaudible et improductif pour créer déception et colère et aboutir sur un fiasco que des dépenses faramineuses ne peuvent malheureusement pas compenser. Avant de tout perdre, mieux vaut composer pendant qu’il est encore temps,semble désormais être le derniers recours et sortir la tête de l’eau, car les jeux sont faits etrien ne pourra s’y opposer.
C’est précisément le conseil sage et éclairé qu’avait prodigué le roi Mohammed VI dans l’un de ses derniers discours en proposant à Alger de négocier pour sortir du conflit imposé au Maroc, la tête haute sans vainqueur ni vaincu et sans rancune.
Les militaires au pouvoir et le président Tebboune ont mis bien du temps à se résoudre à cette philosophie et à une perspective de paix devenue incontournable.
Après avoir tout essayé, y compris les procédés les plus condamnables, l’Algérie est appelée dans les prochains jours à « rendre les armes » suite à ce KO qui, du jour au lendemain ont compris à leur tour que la seule issue de secours se trouvait de l’autre côté de la frontière, au sein même de la mère-patrie parmi les frères, sans conditions dans le cadre d’une reddition honorable avec pour seule demande, le pardon de la nation et de tous les marocains devant une communauté internationale qui ne voit plus que du côté marocain avec son drapeau flottant sur toutes ses provinces sahariennes. L’Histoire se précipite et le jour de délivrance approche à grands pas.
Par Jalil Nouri
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