Le journaliste marocain Ridouane Erramdani a exprimé son désenchantement envers les influenceurs marocains qui n’ont pas pris part à la cérémonie d’ouverture de la Coupe du Monde des Clubs Champions, qui s’est tenue à Tanger. Il a comparé cette absence à leur participation au Qatar lors de la Coupe du monde de football de novembre dernier. À cette occasion, les stars des réseaux sociaux sont allées faire des blogs et promouvoir leurs comptes.
Erramdani a souligné que Tanger n’était pas plus éloigné que le Qatar et que les influenceurs auraient pu être présents pour ce moment important, surtout que l’événement se déroulait sur le sol marocain.
Ces déclarations ont suscité des réactions en ligne, avec des internautes mettant en avant qu’il n’y avait aucune excuse valable pour ne pas participer à un événement aussi important que la cérémonie d’ouverture de la Coupe du Monde des Clubs. Leur présence aurait pu avoir un impact considérable sur l’image de cet événement et leur absence peut être perçue comme un manque de soutien pour leur pays d’origine.
Pour information, des influenceurs marocains ont récemment reçu des convocations du fisc pour des contrôles fiscaux. cela n’a rien à voir avec leur participation ou absence à la cérémonie d’ouverture de la Coupe du Monde des Clubs.
Les contrôles peuvent être stressants pour les influenceurs, car ils peuvent être tenus responsables de tout manque à gagner pour l’État. Les autorités fiscales vérifient les déclarations de revenus et les transactions financières pour garantir que tout le monde paie sa juste part d’impôts. Cependant, cela peut entraîner des coûts financiers importants pour remédier à tout manque à gagner pour les influenceurs, qui reçoivent entre 10 000 dh et 50 000 dh pour une seule publicité ou « story ».