Les médias algériens ont récemment lancé une campagne de désinformation visant le Maroc, affirmant sans preuve que le Royaume était militairement engagé aux côtés d’Israël dans le conflit à Gaza. Plusieurs journaux et canaux officiels algériens ont accusé le Maroc de fournir des avions militaires à Israël dans le cadre d’une supposée coopération militaire.
Ces accusations infondées s’inscrivent dans une stratégie de dénigrement initiée par le régime algérien depuis l’élection du président Abdelmadjid Tebboune en 2019. Le général Gaid Salah, puis Said Chengriha, ont joué un rôle central dans cette politique anti-marocaine.
Pour donner du poids à leurs affirmations, les médias algériens ont cité des soi-disant « experts en stratégie militaire ». Un reportage a même été commenté par Ali Maqsoud, un général de brigade syrien, qui a faussement allégué la participation du Maroc à une force militaire contre le Hamas.
En réalité, les avions marocains présents dans la région transportaient du matériel médical pour les victimes de la guerre à Gaza. Sur ordres du Roi Mohammed VI, le Maroc a envoyé 40 tonnes d’aides médicales, établissant un couloir humanitaire pour les Palestiniens. Ces efforts humanitaires contrastent avec les allégations algériennes, qui ont été rapidement démenties par un communiqué officiel du ministère marocain des Affaires étrangères.
La campagne de désinformation algérienne révèle une fois de plus le manque de professionnalisme de ces médias et leur faible crédibilité. Au lieu de critiquer les actions humanitaires du Maroc, l’Algérie ferait mieux de suivre cet exemple et d’apporter un soutien concret aux populations palestiniennes.
il ne faut plus calculer ces moins que rien, quand on voit un chien qui aboie, on le laisse aboyer , puisqu’on sait que ce chien qui aboie ne mord pas, vraiment ces débiles me font pitié…
il faut attaquer les médias algéRIENS en justice pour diffusion de propos diffamatoires.Il est temps d’interdire l’accès des algéRIENS au territoire national et à la propriété immobilière au Maroc.
Exactement, en plus d’être plus stricts aux français d’origine alGérienne qui viennent « investir » au Maroc