Chaque avancée significative du Maroc, que ce soit sur le plan politique, économique, ou des droits, est accompagnée d’une montée en puissance des voix séparatistes. Ces ennemis du Royaume, inquiets de la rapidité avec laquelle le pays progresse sur divers fronts, tentent de dénigrer sa réputation à l’échelle internationale.
Suite au soutien de la Ligue Arabe et d’autres pays au dossier de la présidence du Maroc pour la dix-huitième session du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies, des associations « droit-de-l’hommistes » affiliées au Polisario ont lancé une prétendue « campagne internationale contre la candidature du Maroc ». Cette tentative désespérée vise à influencer les positions de la communauté internationale en détournant l’attention de la situation des réfugiés à Tindouf et en ignorant les crimes du Polisario.
Aïcha Douihi, présidente du Centre de Genève pour les Droits de l’Homme, souligne que ces campagnes hostiles s’inscrivent dans les missions officielles du Polisario, actuellement en proie à la division et à la pression, illustrées par le mécontentement dans les camps de Tindouf.
Elle affirme que pour faire face à cette pression interne et récupérer sa légitimité, le Polisario adopte des plans superficiels manifestes dans ses hostilités envers le Maroc, cherchant à l’encercler. Pendant ce temps, le Maroc avance résolument vers le leadership régional et international.
Ramadan Massoud, président de l’Association Sahraouie de Défense des Droits de l’Homme à Madrid, minimise l’impact de ces campagnes séparatistes. Il souligne que ces initiatives sont motivées par le régime algérien, dont le bilan en matière de droits de l’homme est discutable. Massoud affirme que le Maroc est un modèle régional et africain pour le respect des droits de l’homme et que ces tentatives de dénigrement sont vaines.
Au milieu de ces tentatives désespérées de dénigrement du Maroc par ses ennemis, il est crucial de reconnaître les droits bafoués des citoyens algériens. Dans un climat où la libre expression est réprimée, de nombreux innocents croupissent en prison pour avoir critiqué le système militaire au pouvoir, malgré les vastes richesses du pays. Pendant ce temps, les dirigeants du Polisario détournent les aides humanitaires destinées à soulager les conditions de vie précaires des habitants de Tindouf. Il est temps de mettre en lumière ces violations flagrantes des droits fondamentaux et d’appeler à la justice.