Mercredi à Rabat, les associations représentant les parents et tuteurs d’élèves ont exprimé leur soulagement suite à l’accord conclu entre le gouvernement et les syndicats de l’enseignement. Ce développement crucial intervient après une période prolongée de grèves menées par les enseignants, ayant considérablement perturbé l’année scolaire.
Les représentants de ces associations ont rencontré le ministre de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, pour discuter des moyens de rattraper le temps scolaire perdu. Noureddine Akkouri, président de la Fédération nationale des associations des parents d’élèves au Maroc, a qualifié la réunion de « fructueuse », soulignant l’importance de la reprise scolaire et des résultats de l’accord avec les syndicats.
Mokhtar Laghmich, premier vice-président de la Confédération nationale des associations des parents et tuteurs d’élèves, a souligné que la réunion a permis de passer en revue les résultats de l’accord, en mettant l’accent sur le soutien scolaire pour tous les étudiants.
Hassan Aabou, président de la Fédération nationale marocaine des associations des parents d’élèves, a loué l’accord entre le gouvernement et les syndicats, espérant qu’il favorisera un retour rapide en classe pour mettre fin à la « hémorragie » du temps scolaire.
Le défi majeur est désormais de rattraper le temps perdu en raison des grèves. Les autorités éducatives envisagent diverses stratégies, telles que l’extension des heures de cours, la réduction des vacances scolaires, et l’organisation de sessions de rattrapage intensives. Il est également envisagé de renforcer le soutien scolaire, notamment pour les élèves qui ont le plus souffert de ces interruptions.
Le procès-verbal de l’accord, signé entre la Commission ministérielle et les syndicats, inclut des mesures visant à améliorer la situation du corps enseignant et propose des nouveautés en matière de finance et d’autres dossiers prioritaires. Ces mesures sont perçues comme une étape vers la réforme de l’école publique et la stabilisation du système éducatif.
Alors que les parents et tuteurs respirent un soulagement prudent, la question cruciale reste : comment les élèves pourront-ils récupérer efficacement le temps scolaire perdu? Les solutions proposées seront cruciales pour assurer que les perturbations de cette année n’affectent pas de manière irréversible l’apprentissage et la progression des élèves.
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Chami
11 mois il y a
Un enfant ou un élève fatigué par un programme lourd et des heures d études sans interruption est une mauvaise solution, bourrage de crâne sans bons résultats. A mon avis réduire le programme pour cette année ou les heures scolaires pour des matières moins importantes que d autres et les attribués à d autres scientifiques… on peut s en passer d un cours d éducation civique ou islamique pour un premiers temps ou d un programme histoire géo de 30 leçons on peut cibler, au moins pour cette année perturbée par les grèves.
Programme lourd+heures de travail acharné=cerveau saturé=échec scolaire= génération perdue et sacrifiée. On parle d intelligence artificielle mais on garde un programme obsolète et on rame à trouver des solutions adaptées et générationnelles de l époque. Ils sont où les programme des IT, même l idée d un système éducatif du tronc commun doit être revu à un certain niveau, proposer d autres options pour d’autres orientations. Les moyens existent je pense, faudrait les utiliser à bon escient.
Un enfant ou un élève fatigué par un programme lourd et des heures d études sans interruption est une mauvaise solution, bourrage de crâne sans bons résultats. A mon avis réduire le programme pour cette année ou les heures scolaires pour des matières moins importantes que d autres et les attribués à d autres scientifiques… on peut s en passer d un cours d éducation civique ou islamique pour un premiers temps ou d un programme histoire géo de 30 leçons on peut cibler, au moins pour cette année perturbée par les grèves.
Programme lourd+heures de travail acharné=cerveau saturé=échec scolaire= génération perdue et sacrifiée. On parle d intelligence artificielle mais on garde un programme obsolète et on rame à trouver des solutions adaptées et générationnelles de l époque. Ils sont où les programme des IT, même l idée d un système éducatif du tronc commun doit être revu à un certain niveau, proposer d autres options pour d’autres orientations. Les moyens existent je pense, faudrait les utiliser à bon escient.