Lors de la 57e session du Conseil des droits de l’homme à Genève, des organisations de défense des droits humains ont tiré la sonnette d’alarme concernant les dangers que représentent les mercenaires des camps de Tindouf pour la stabilité en Afrique du Nord. Ces camps, sous le soutien politique et militaire de l’Algérie au profit des mercenaires du Polisario, sont devenus des plateformes pour l’émergence du terrorisme et constituent une menace pour la paix régionale.
Mohamed Ahmed Kine, président de l’Institut africain pour la paix et la résolution des conflits, a souligné le refus de l’Algérie d’assumer ses responsabilités envers les réfugiés sahraouis, les transformant en cibles faciles pour le recrutement dans des conflits armés à travers l’Afrique. Selon lui, ces jeunes désœuvrés sont exploités par le Polisario pour déstabiliser les régimes africains, servant ainsi l’agenda géopolitique de l’Algérie.
Hamada Beihi, président de la Ligue du Sahara pour la démocratie et les droits de l’homme, a également alerté sur la situation alarmante dans les camps de Tindouf. Il a dénoncé la recrudescence des mercenaires et le trafic d’armes, faisant de cette région un foyer d’instabilité pour le Sahel et les pays voisins. Il appelle à la vigilance de la communauté internationale pour contrer ces activités qui menacent la souveraineté des États et la sécurité des civils.
Les activités des mercenaires des camps de Tindouf représentent non seulement une menace pour la stabilité des pays voisins, mais pourraient également se retourner contre l’Algérie elle-même. En finançant et armant ces groupes, l’Algérie risque de devenir, à terme, la cible de ces mêmes mercenaires, exacerbant ainsi l’instabilité dans la région.
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A la bonne heure !!
Le Polisario et le régime algérien menacent non seulement l’e Sahel mais toute l’Afrique ainsi que l’Europe par le terrorisme vue que beaucoup d’entre eux ont des passeports de toutes les sauces même diplomatiques . C’est bien l’Algérie qui les fournissent