Suite au tragique tremblement de terre qui a frappé la région d’Al Haouz, la tentative du président Français, Emmanuel Macron, d’utiliser l’aide humanitaire pour calmer les tensions diplomatiques avec le Maroc a soulevé une vague de protestations. La situation était déjà tendue entre les deux pays, avec des signes palpables tels que l’absence d’un ambassadeur marocain en France depuis des mois et l’annulation de plusieurs visites officielles à Rabat prévues par le président Français.
Bien que le Maroc ait accepté des offres d’assistance de plusieurs nations, il a décidé de décliner l’aide proposée par la France.
En réponse, le président Français s’est adressé au peuple marocain via une vidéo, affirmant que la décision de refuser l’aide était une question de souveraineté pour le Maroc et que son pays était prêt à aider dès que cela serait demandé. Mais cette démarche n’a guère été appréciée. Nombreux sont les Marocains qui ont perçu ce geste comme une violation des protocoles diplomatiques et une tentative de minimiser la souveraineté du Maroc. Les réseaux sociaux ont été inondés de critiques, révélant une solidarité sans faille entre le peuple marocain et la monarchie. Les messages étaient clairs : le Maroc est indépendant, souverain et ne tolère aucune interférence.
L’écho massif et unifié de cette indignation sur les plateformes numériques a prouvé, s’il en était encore besoin, que le peuple marocain et la monarchie ne font qu’un. Cette unité et cette détermination ont été ressenties par tous ceux qui ont assisté à cet élan de solidarité, montrant au monde que lorsque la dignité et la souveraineté sont en jeu, le Maroc parle d’une seule voix puissante et inébranlable.
Tandis que le président Macron navigue en eaux troubles sur le plan diplomatique avec le Maroc, il est également confronté à une désapprobation croissante chez lui. Illustration marquante : les huées reçues lors de son intervention à la Coupe du Monde de Rugby, signe patent d’un fossé grandissant avec une partie de la population française. Face aux défis internationaux et à la grogne nationale, il est clair que les temps sont complexes pour le chef d’État français.